Re: French Jerks is still alive
Posté : 25 juin 2017 8:26
Platon va pas être content mais ça m'arrange. Une petite partie de rhétorique en html.
Alors, sache que ton point de vu, est subjectif, mais vérité (même si particulière, nique sa mère l'unicté et l'universalime) de par le fait tu propose quelque chose dans la démarche d'une critique discursive (ne tombons pas dans le post-moernisme du tout et n'importe quoi). On ne va pas réifier le passé non plus, il y a assez de gens qui le font. Oui, j'ai même mentionner le fait que j'avais pas beaucoup développer mais que bon French Jerks était une base de données, et que même si selon toi il fallait faire plus que dire "vite fait" que les paroles étaient merdiques, ben ça, c'est ta subjectivité mon p'tit loup. Si on prend l'article en entier. Il y a positionnement mais pas développement. Rien de bien grave. Eh tu sais quoi, moi la première fois que j'ai entendu "Adolescent", c'était quand je squattais le squat des potes, le Rock n' rol Vengeance (La Souris Déglingué c'est de la merde maintenant, qu'ils aillent niquez leurs mère! Faut pas donner un kopek à ces connards, vivement le prochain bootleg de garçon morderne, hain haine haine et du premier L.P, mais qui se bouge le cul? Eh eh... j'ai une petite idée...-c'est bon comme ça chaton?-), et je peux te garantir que j'ai pas mal tourner dans le genre natio cheloud, pourtant j'ai un groupe de black metal, et on emmerde l'étiquette RABM (je te donne à manger la loup-loup). Par contre à cause de gaucho je suis en perdition totale, pute, accro aux amphet et à l'hero, sans domicile, travelo, franchement, t'as vu les dégats du déterminisme sociale?! Je blague hein, j'ai horreur de la dialectique matérialiste.
Le folklore du ghetto global me fait un peu chier je t'avoue, alors bon, si tu veux faire chier, let's go.
Dans sa globalité, French Jerks était un site qui, par son intention de répertorié le punk rock français, pouvait potentiellement tomber dans un chauvinisme merdique. Un dialecticien de qualité dans ton genre aurai eu la résolution de ce confit par le mot nationalisme comme suite rationnel du moteur qui créa, par causalité effective, une chié d'article sur le punk français. Sauf que, une analyse sémiologique de ce blog (putain j'en suis là, développer pour un putain de blog, heureusement que je dois attendre la charge de mon MP3), te ferait découvrir les joies de la généalogie: une structure vicéralement anti-france, une non chalance paradoxalement en mouvement grâce à l'amour du punk rock. Et surtout une éthique qui conjure les vices du prosélytisme et les maladresses de la revendications politique militante. Mais bon, je peux pas t'en vouloir, tu ne dois pas suivre ce blog depuis les 5 putains d'années où il a existé. Merde, j'espère que les kids ne tomberont pas sur cette article, le hasard fait mal les choses. Mais l'espoir est une passion triste (Spinoza), je vais pas me ronger la cervelle, y'à du Bière Sociale (merde, ce connard de camé de Galère écoute que du rac et fait un peu trop le con, j'fais quoi là?)
Chaton, ça te dis de faire un zine avec moi maintenant?
Puissance,
Nox
Alors, sache que ton point de vu, est subjectif, mais vérité (même si particulière, nique sa mère l'unicté et l'universalime) de par le fait tu propose quelque chose dans la démarche d'une critique discursive (ne tombons pas dans le post-moernisme du tout et n'importe quoi). On ne va pas réifier le passé non plus, il y a assez de gens qui le font. Oui, j'ai même mentionner le fait que j'avais pas beaucoup développer mais que bon French Jerks était une base de données, et que même si selon toi il fallait faire plus que dire "vite fait" que les paroles étaient merdiques, ben ça, c'est ta subjectivité mon p'tit loup. Si on prend l'article en entier. Il y a positionnement mais pas développement. Rien de bien grave. Eh tu sais quoi, moi la première fois que j'ai entendu "Adolescent", c'était quand je squattais le squat des potes, le Rock n' rol Vengeance (La Souris Déglingué c'est de la merde maintenant, qu'ils aillent niquez leurs mère! Faut pas donner un kopek à ces connards, vivement le prochain bootleg de garçon morderne, hain haine haine et du premier L.P, mais qui se bouge le cul? Eh eh... j'ai une petite idée...-c'est bon comme ça chaton?-), et je peux te garantir que j'ai pas mal tourner dans le genre natio cheloud, pourtant j'ai un groupe de black metal, et on emmerde l'étiquette RABM (je te donne à manger la loup-loup). Par contre à cause de gaucho je suis en perdition totale, pute, accro aux amphet et à l'hero, sans domicile, travelo, franchement, t'as vu les dégats du déterminisme sociale?! Je blague hein, j'ai horreur de la dialectique matérialiste.
Le folklore du ghetto global me fait un peu chier je t'avoue, alors bon, si tu veux faire chier, let's go.
Dans sa globalité, French Jerks était un site qui, par son intention de répertorié le punk rock français, pouvait potentiellement tomber dans un chauvinisme merdique. Un dialecticien de qualité dans ton genre aurai eu la résolution de ce confit par le mot nationalisme comme suite rationnel du moteur qui créa, par causalité effective, une chié d'article sur le punk français. Sauf que, une analyse sémiologique de ce blog (putain j'en suis là, développer pour un putain de blog, heureusement que je dois attendre la charge de mon MP3), te ferait découvrir les joies de la généalogie: une structure vicéralement anti-france, une non chalance paradoxalement en mouvement grâce à l'amour du punk rock. Et surtout une éthique qui conjure les vices du prosélytisme et les maladresses de la revendications politique militante. Mais bon, je peux pas t'en vouloir, tu ne dois pas suivre ce blog depuis les 5 putains d'années où il a existé. Merde, j'espère que les kids ne tomberont pas sur cette article, le hasard fait mal les choses. Mais l'espoir est une passion triste (Spinoza), je vais pas me ronger la cervelle, y'à du Bière Sociale (merde, ce connard de camé de Galère écoute que du rac et fait un peu trop le con, j'fais quoi là?)
Chaton, ça te dis de faire un zine avec moi maintenant?
Puissance,
Nox