Il faut que je sache quand, parce que vers mi-mars, je trace à Paname beach city.magouille&compagnie a écrit :Bon , pour aller jusqu'a Clamecy ça à l'air d'ètre un peu hasardeux ...
Et si le paquet arrive à Marseille genre début de 2eme semaine de Mars , Strarsky tu peut etre à la reception ??
Je te propose qu'on en recause demain matin, vers 16h00, quand tu auras dessaoulé...
José Gri a écrit :mag !!!(t 'acceptes je t'appelle comme ma soeur ?)
Non et pis de toutes façon je voulais mème pas y'aller , et en plus t'avais dis que tu voulais pas m'emmener et que tu préferais y'aller avec les chiens plutot (pluto le chienJosé Gri a écrit :c'est qu't'été triste de pas aller à nevers hier ???
) qu'avec moi !! Allez c'est ça , remues le couteau dans la plaie ! Tu le sais pertinemment que j'ai pas d'amis ,encore moins à Vierzon ,Thomas j'ai l'impréssion qui m'aime pas ...José Gri a écrit :José Gri a écrit :José Gri a écrit :pour en revenir au sujet , t'as bien des potes à vierzon ..
Oui , je le consent , mais est ce que cela t'autorise à en faire un tag dans les chiottes du squat ?José Gri a écrit :bon pis sinon foetus party z'ont juste chanter "enculé c'est pas une insulte c'est une pratique sexuelle " le reste "remplie d'amour pour cieux/ciel qui le pratiquent avec consentement " c'est de moi , non mais !!!!
Si à un moment t'en à marre , passes nous voir !Bisous a +José Gri a écrit :je retourne parler tout seul dans ma tete , à plus !!
" ) qu'avec moi !! "Nan. J'avais un pantalon trop court et les autres se moquaient de moi. Alors, j'ai nourri un ressentiment vivace contre ceux, qui, dans leur terrible dessein à s'épanouir au quotidien risquaient de m'infliger humiliations et violence physique au passage; les autres. J'attendais ce jour depuis l'après midi de mon inscription sur dynamite - il pleuvait- et, soyons honnête, je t'avais repéré. La proie idéale pour me venger de l'engeance qui terrorisa mes vertes années; les autres. Désormais, à l'aube d'une nouvelle vie, ce passé de douleur et de larmes balayé d'un revers de main, le sang lavé par la honte, plus rien ne me retiens. Je n'ai plus de quête, et je suis fatigué de toute cette violence. Je pense à un petit ranch, juste de quoi faire pousser quelques patates et élever un peu de bétail, quelque part au sud. Et puis, qui sait, peut-être que je finirai par rencontrer une fille pas trop regardante qui saurait m'accepter tel que je suis, bourru, blessé, mais sensible, au fond. Je m'amouracherai d'elle, et nous caresserons le rêve d'un foyer, d'une famille, au delà des contrées où la violence s'est faite maitresse des hommes qui la pétrissent de leur haine.Ah j'crois voir quel genre de bonhomme tu nous fais ! Le genre , qui petit aimait à se moquer de ses camarades qui portaient des pantalons trop courts , ou qui avaient des poils de chats collés au pull .
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