Jean Lefrebvre is dead / le dernier des Tontons Flingueurs.

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vincent
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Message par vincent » 14 oct. 2005 17:03

darkfolk rules a écrit :et pour m.lefevre tu nous a ft marrer avec tes films de merde pour la plupart mais t'est un connard tu etait nazi...il y en a combien comme lui que l'ont veneres????? :lol:
j'ai beau y relire 4 fois de suite j'y comprends rien :?: :?: :!:
BURZUM excellent en effet sauf la chanson "War" qui est la moins bien de son répertoire 8-)
rien a foutre du pouvoir d'achat

darkfolk rules

Message par darkfolk rules » 14 oct. 2005 17:12

tu te fous de ma tronche toi WAR c'est la meilleure c'est celle la qui fout la peche borle "this is hmmm wAR...."la classe totale
loser va :lol:

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Message par vincent » 14 oct. 2005 17:22

t'es pas en train de monter ton matos toi ? tachon :lol:
rien a foutre du pouvoir d'achat

Victor Hams

Message par Victor Hams » 14 févr. 2006 20:27

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Mort du comédien Darry Cowl, à l'âge de 80 ans



Le comédien Darry Cowl est mort mardi matin à l'âge de 80 ans à son domicile de Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine), des suites d'une longue maladie, ont annoncé ses proches.

Darry Cowl, connu pour ses rôles de comique ahuri et bégayant, avait dû annuler en août son retour sur scène, au théâtre des Nouveautés, pour raisons de santé. Il avait alors annoncé souffrir d'un cancer du poumon.

Au cours de sa carrière, il a joué dans plus de 250 films, dont beaucoup de comédies rapidement oubliées, avant de s'orienter vers des oeuvres plus ambitieuses et conceptuelles, au théâtre comme au cinéma.

En février 2004, il avait reçu le César du meilleur acteur dans un second rôle pour son interprétation dans "Pas sur la bouche" d'Alain Resnais.

Darry Cowl, de son vrai nom André Darricau, est né le 27 août 1925 au Thillot (Vosges). Il s'oriente d'abord vers des études musicales et remporte des premiers prix de fugue et d'harmonie. Il débute au cabaret où ses sketches remportent un vif succès.

Sacha Guitry l'engage dans "Assassins et voleurs" (1956) et il se tourne vers le cinéma, où son rôle dans "le triporteur" le rend instantanément célèbre. Sur le tard, il s'était tourné vers un registre plus grave, jouant notamment dans une pièce de Dürrenmatt. On avait pu le voir avec le performeur américain GG Allin dans la pièce de boulevard "Pot de chambre inutile" (1987)

Il a écrit deux livres de souvenirs, "Le flambeur" (1986) en référence à sa passion pour le jeu, et "Le triporteur se livre" (1994).

hollandewin

Message par hollandewin » 14 févr. 2006 21:03

On avait pu le voir avec le performeur américain GG Allin dans la pièce de boulevard "Pot de chambre inutile" (1987)
:shock: :shock: :shock:

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Message par Raph » 15 févr. 2006 10:22

Victor Hams a écrit :Darry Cowl, de son vrai nom André Darricau, est né le 27 août 1925 au Thillot (Vosges).
Darry Cowl serait-il le père caché de Fred Earquake ?

Victor Hams

Message par Victor Hams » 18 févr. 2006 1:22

Et maintenant, c'est au tour de Ray Barretto de trépasser, c'est une véritable hécatombe de talents ! :cry: :cry:

Le percussionniste américain d'origine portoricaine Ray Barretto, 76 ans, est décédé vendredi de complications post-opératoires liées à un quintuple pontage coronarien, a-t-on appris auprès du Centre médical universitaire d'Hackensack (New Jersey, nord-est).

"Il est décédé ce matin", a indiqué une porte-parole de l'hôpital.

En janvier, le musicien avait subi une opération de cinq heures dans un hôpital de Ridgewood, dans le New Jersey, avant d'être réopéré en urgence quelques jours après, en raison de complications post-opératoires. Il était depuis en unité de soins intensifs.

Dans un entretien accordé juste avant son hospitalisation, ce percussionniste incontournable, père de la scène "latin jazz", avait expliqué qu'il lui faudrait au moins 48 heures pour récupérer. "Je vais être deux jours hors de ce monde", avait-il dit à un journaliste de l'AFP. "Je suis sûr que je vais me sortir de cette intervention et poursuivre ma vie consacrée à la musique, et j'espère que d'ici deux mois, je serai de nouveau dans la mêlée".

Né à Brooklyn le 29 avril 1929 de parents portoricains, d'une mère amoureuse du jazz de Duke Ellington ou de Count Basie, Ray Barretto avait appris les rudiments des percussions au contact de musiciens noirs alors qu'il était soldat en Allemagne juste après la Seconde guerre mondiale.

Sa notoriété grandissant, Ray Barretto s'est ensuite tourné vers ses origines, plongeant dans la musique latino-américaine. En 1961, il enregistre son premier succès, "El Watusi", première chanson latino à entrer dans le hit-parade (Billboard).

Au cours de sa carrière, il joue avec des artistes aussi divers que Dizzy Gillespie, Tito Puente, Charlie Parker, les Rolling Stones ou même les Bee Gees et GG Allin.

En 1990, il obtient un Grammy, les récompenses de la musique aux Etats-Unis, pour le titre "Ritmo en el Corazon", avec Celia Cruz au chant.

Ces dernières années, le joueur de congas se consacrait au "latin-jazz" et à la salsa, tournant dans le monde entier, en Europe, en Israël, aux Etats-Unis, en Amérique latine, à la tête d'un groupe de cuivres et percussionnistes. Il avait donné son dernier concert en Europe au Thillot (département des Vosges, France), lors d'une fête organisée par un journal local.

Début janvier, il avait reçu aux Etats-Unis le prestigieux titre de "maître du jazz", devenant ainsi le deuxième Hispanique de l'Histoire à recevoir cette récompense suprême, après le saxophoniste cubain Paquito D'Rivera.

Mais à la cérémonie de remise du prix, le musicien avait été saisi d'une crise d'asthme et avait dû être transporté à l'hôpital, où ses problèmes cardiaques étaient apparus, pour la première fois.

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Message par melvin » 18 févr. 2006 1:52

Pfff
Ray Baretto !
et pourquoi pas Traçate Bouletto pendant qu'on y est ?!
Hey, professor! I recognize these teeth. This is Felipe Ocanya. He knew the jungle as well as I do

Victor Hams

Message par Victor Hams » 18 févr. 2006 1:59

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De toute façon, toi, si c'est pas 50 Cent, nul décès ne te touche avec ton coeur de pierre... :-?

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Message par melvin » 18 févr. 2006 3:58

j'avais presque laché une larme lorsque j'avais appris la mort de chuck schuldiner
et la mort de Stanley m'avait foutu un sacré coup au moral...
sinon la mort de Topor j'étais vert, j'étais à la fac (en arts plastiques) et on devait être 3 ou 4 à savoir qui c'était...
franquin aussi... j'étais tout triste...
Mesrine aussi, j'avais 4 ans et je me souviens que le gout du sable dans le bac était soudainement devenu très fade...

alors j'ai peut être un coeur de pierre, mais j'ai des boyaux en mousse
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