La parole des émeutiers-ères

Le punk n'est pas qu'une musique ! Ici on discute de l'actualité, des manifs et des résistances en lien direct avec notre culture. "Make punk a threat again", ça vous dit encore quelque chose ?!
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Starsky
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Message par Starsky » 09 juin 2006 16:13

J'ai presque finit le truc, et je kiffe vraiment.
Certaines nouvelles sont super prenante, dont celle (la 1ere ou 2eme) qui relate une histoire avec plusieurs points de vues...
Vachement empathique et réaliste.

Torchons & Soviets
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Message par Torchons & Soviets » 09 juin 2006 16:25

STARSKY a écrit : C'est les tripes qui parlent, ça a un arrière gout de revanche, c'est l'abscès qui explose...
Mais c'est pas réfléchit...
justemment pour moi, cet abcès qui explose à un caractère politique, irréfléchit tout à fait d'accord et qui part dans tous les sens (et même les mauvais).
y'a pas forcement de reference "ethnique", simplement ils parlent de gens n'habitant pas en banlieu qui jugent la conscience politique et la manière de faire de personnes habitant en banlieu, des gens qui voudraient "coloniser" les banlieues, aller y precher leur bonne parole revolutionaire conscientisés ou chépaquoi... j'ai bon?
tout bon.


on est dans l'ensemble sur la même longueur d'onde starsky (par contre avec molodoi, j'ai pas la sensation que ce soit le cas, on verra sa prochaine réponse). La seule nuance étant que j'y vois/y ai vu plus de choses intéressantes et positives que de points négatifs (que j'éclipse pas évidemment), par le seul fait que pour moi cet embrasement a été légitime (tu vas trouvé ça un peu facile, rassures-toi, j'en suis conscient :lol: ).

Ya un bouquin lyonnais qui est sorti aussi sur les émeutes, notamment dispo à la gryffe : une révolte en toute logique.

http://rebellyon.info/article2106.html" onclick="window.open(this.href);return false;



Le 27 octobre, à Clichy-sous-Bois, trois adolescents poursuivis par des policiers se réfugient dans un transformateur électrique. Deux d’entre eux, Zyed Benna et Bouna Traoré, meurent électrocutés. Le troisième, Muttin Altun, est gravement brûlé. Voilà une des violences de l’Etat !

Il aurait pu n’y avoir qu’une manifestation silencieuse et quelques nuits d’échauffourées. Les jeunes en décidèrent autrement. Une, puis dix, puis cent cités prirent feux ! Ils désignèrent un responsable, Sarkozy, et demandèrent sa démission. Nous n’avons pas oublié ces deux morts, les blessures, cette révolte, les violences et la brutalité de l’Etat.

Ce que nous appelons "une révolte en toute logique" a été un surgissement. Le surgissement d’une partie de la jeunesse de ce pays, contrôlée, humiliée, méprisée, utilisée, appelée si nécessaire au besoin du sport national qu’est devenu tout scrutin électoral. Leur avenir devrait se résumer à ne devoir subir que les pratiques de la police et être éduqués aux "bonnes" manières de la République. Ily a eu consensus pour étouffer toute parole, éteindre tous les feux. D’où l’ironie du reproche qui consista à dire : cette révolte est sans parole. Il y a eu un silence quasi général du reste du pays, c’est certain. Le possible d’une rencontre, un moment politique, n’a pas eu lieu. Dans ce silence, rempli d’un vacarme méprisable et méprisant à l’égard de ce qui se passait, il y eut des voix. Celles de quelques jeunes, de quelques familles, de quelques intellectuels, de quelques "quelconques".

La décision de rendre visible, de tenir le point qu’il y a une importance considérable à faire trace de ce moment et de ces voix, nous la livrons, à qui voudra bien engager cet effort du parcours que nous proposons. Nous ne proposons que cela.

- Des enquêtes avec un jeune, une famille, un avocat, un détenu, des élèves, des professeurs, Jym écrivant d’Outremer.

- Des interventions de F. Athané, A. Badiou, S. Beaud, F. Blum, Y. M. Boutang, M. Ganozzi, J.C. Montel, M. Pialoux, G. Régnier, Divercité et Ici et Là-bas.

- Des témoignages et des documents.

A ce jour, l’amnistie générale pour tous les jeunes condamnés reste un enjeu.

Pour information : L’archipel des pirates BP 32 69560 Sainte Colombe

Ouvrage collectif, 264 pages. - 8 euros (en dépôt à la librairie)

Les bénéfices iront aux familles des inculpés que nous connaissons.



Disponible :

à la libraire "A plus d’un titre", 4 quai de la pêcherie - Lyon 69001

à la librairie GRAND GUIGNOL, 19 bis rue sergent Blandan 69001 Lyon

à la librairie "La Gryphe", 5 rue Sébastien Gryphe, Lyon 69007

à la librairie "Terre des livres, 86 rue de Marseille, Lyon 69007

à la librairie "Les passeurs de textes, 3-5 rue Emile Zola - 10000 Troyes

à la librairie "Compagnie - 58 rue des Ecoles - 75005 Paris

à la librairie "Le point du jour", 58 rue Gay-Lussac, Paris 75005

à la librairie "L’arbre à lettres", 2 rue Edouard Quenu, Paris 75005

à la librairie "Folies d’encre", 22 rue Jean Jaurès, 93200 St Denis

à la librairie "Libralire", 116 rue St Maur, Paris 75011


http://multitudes.samizdat.net/Vient-de ... TE-EN.html" onclick="window.open(this.href);return false;



Extraits

Extrait I :

A., un habitant d’une banlieue lyonnaise, nous parle des rapports ordinaires avec les forces de l’ordre dans son quartier. A. a vingt-cinq ans. Par Jérome Leguay

- Comment ça se passe avec la police au quotidien ?
- Moi, j’habite dans un secteur où il n’y a pas beaucoup de quartiers, alors les policiers, ils connaissent à peu près tout le monde. Ça ne veut pas dire qu’il n’y a pas de problème. Je vais donner un exemple pour que les gens, ils comprennent bien, même si ce n’est pas un exemple qui me concerne. La dernière fois, un jeune s’est fait contrôler devant moi. Devant moi. Le flic a demandé les papiers d’identité du jeune et le jeune lui a donné la carte d’identité dans la main : « Voilà monsieur l’agent. » Il a fait le contrôle et puis une fois qu’il a eu fini, il jette par terre sa carte d’identité et il lui dit : « Maintenant, tu ramasses ta carte d’identité par terre ». Pourquoi faire ça ? Après ils se demandent pourquoi le jeune va s’énerver. Parce que le jeune, bien sûr, il s’est énervé. Il a fini où ? En garde à vue. Pourquoi ? Pas parce qu’il s’est énervé, mais parce qu’avant ça, le flic a jeté sa pièce d’identité par terre. Il n’a pas accepté. Donc maintenant, ce qu’on a à faire, lors d’un contrôle, c’est comme le flic, on n’a qu’à jeter nos papiers par terre et dire « Ramasse, contrôle-moi et puis une fois que t’as fini, tu me le la jette par terre. » Voilà, c’est comme ça que ça doit se passer ? ...

Extrait II :

Quelques jours après le début des rébellions urbaines, je suis allé aux Tribunal de Grande Instance (T.G.I.) de Lyon assister aux comparutions immédiates.

« L’application systématique du droit », c’est systématique pour certains mais pas pour d’autres

La première chose qui a retenu mon attention, en passant quelques jours dans ces audiences, c’est la relative homogénéité des délits jugés : conduites à risques, vols, violences, dégradations, outrages et rébellions... C’est-à-dire en gros, tout ce qui correspond à ce que nos gouvernants nomment le problème de l’insécurité et des incivilités, problème principalement attribué, comme on peut le constater dans ces audiences, aux classes populaires. C’est d’ailleurs, dit-on, pour faciliter le « traitement de masse » de ces délits, pour réduire l’impunité des auteurs de ces infractions et ainsi réduire le sentiment d’insécurité des populations, que la procédure de comparution immédiate est devenue désormais un mode ordinaire de procédure pénal. On parle aussi de « traitement en temps réel » : une interpellation, un coup de téléphone au procureur qui décide de la procédure, et un jugement qui tombe le lendemain ou le surlendemain au tribunal. (Le prévenu peut certes demander un renvoi de l’audience mais il s’expose alors à la détention provisoire.)...

Extrait III :

Monsieur Guérault, avocat du barreau de LYON, défend l’un de ces jeunes. Il nous parle du déroulement de la procédure pénal et nous donne son avis sur le traitement judiciaire plus général des émeutes de novembre. Par Stéphane Berger et Jérome Leguay

- Qu’est-ce qui s’est passé le jour de la permanence ?
- Suite à l’interpellation de trois individus sur le quartier et à l’issue de leur garde à vue, Le Procureur de la République de LYON a requis l’ouverture d’une information judiciaire et saisi un juge d’instruction qui est chargé de conduire cette information. Concrètement cela signifie faire une enquête et déterminer les responsabilités de chacun face aux accusations d’avoir commis telle ou telle infraction pénale. Le rôle du juge d’instruction est d’instruire « à charge et à décharge ». Il est indépendant même s’il est requis par le Procureur pour instruire. Il a un pouvoir de direction sur la police, la gendarmerie et peut désigner tel ou tel expert. Son travail, c’est de récolter des éléments de preuves, soit de la culpabilité soit de l’innocence. Ce qui lui donne le pouvoir, à la fin de l’instruction, de rendre une ordonnance de non-lieu si les éléments à charge sont insuffisants. Dans le cas de l’affaire de B., les trois jeunes sont arrêtés le 10, j’ai le dossier le 12 au matin pendant ma permanence et nous passons devant Le Juge d’Instruction en toute fin de matinée. Les trois jeunes répètent ce qu’ils ont dit devant les policiers et le Procureur, à savoir qu’ils sont innocents et je pointe les incohérences de certains procès-verbaux. Le Juge d’Instruction qui a été saisi du dossier est le doyen des Juges d’Instruction de LYON. Il n’a pas cru un seul instant cette version et leur a donc signifié leur mise examen avant d’envoyer le dossier au Juge des Libertés et de la Détention...

Extrait IV :

Entretien avec la sœur (S.) et la maman (M.) d’un inculpé. par Christophe Pornon et Natacha Flandin Relu par S.

Mars 2006

L’arrestation

Comment ça c’est passé pour vous ? M. : Très très mal. Très très mal.... Au début, vous étiez chez vous ? M. : Oui, j’étais à la fenêtre, j’attendais que mon fils me ramène les médicaments de la pharmacie, avec les sachets dans sa main. En passant mon fils a vu le petit R. qui s’est fait attaquer par la police. Mon fils a dit à la police : « laissez le, il a rien fait ! ». Il y a un policier qui a contrôlé R., qui a dit, « juste ma voiture là à côté », et il est parti récupérer les papiers de la voiture, et le policier est venu par derrière, en courant, il a frappé le jeune et l’a fait tomber par terre. Et mon fils a essayé de ramasser le petit de par terre. La police a bousculé mon fils, et moi je l’ai vu, je suis descendue, quand je suis descendue, j’ai trouvé un policier avec un flash-ball en face de ma fille. il tirait sur ma fille. Il a tiré sur votre fille ? M. : Oui, deux fois. Un cousin est venu en face, il s’est brûlé l’estomac pour la protéger. Et moi je suis partie derrière mon fils. Les coups de feu tout ça, j’ai pas calculé. La police tire mon fils vers elle et moi je le tire vers moi. A ce moment là, je me disais : « hors de question que je donne mon fils à la police ». Après, la police est devenue plus forte que moi. Elle m’a bousculée par terre et elle m’a blessée. J’ai été obligée de faire venir un médecin. J’ai même pas osé porter plainte contre la police. Extrait V :

- De Jym depuis l’archipel des Mascareignes.

6 heures

Des partis de tous ordres (en vérité fort peu) font alors comme s’il y avait quand même des revendications, certes formulées en une langue étrangère ou une approximation de langue, mais qu’ils puissent comprendre dans leur langage à eux, et ils entrent aussitôt en compétition pour répondre sous forme de suggestions de mesures - ou - s’ils ne trouvent rien à traduire ils se mettent à déclarer hautement qu’il n’y a, c’était vrai, dans tout cela, qu’une sorte de chaos dont la police, on l’espère, viendra à bout.

Mais personne, à ma connaissance, n’a voulu à aucun prix que la haine des insurgés soit la sienne : que les écoles puissent être haïssables, tout comme les voitures dans certains contextes, tout comme les bus de touristes, tout comme les commissariats, les magasins et qu’on puisse en venir à les brûler, les mettre à sac, quand on est soi-même une de ces choses dont on se débarrasse au "Karcher" et dont la mort ne compte pas du tout.

14 heures

Je comprends ce qui s’est fait là et même je l’approuve...
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Message par Torchons & Soviets » 09 juin 2006 16:27

STARSKY a écrit :J'ai presque finit le truc, et je kiffe vraiment.
Certaines nouvelles sont super prenante, dont celle (la 1ere ou 2eme) qui relate une histoire avec plusieurs points de vues...
Vachement empathique et réaliste.
"et si on s'faisait l'comissariat..." :lol: :twisted:
compte mort

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Starsky
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Message par Starsky » 09 juin 2006 17:29

C'était pas les mêmes que chez moi... :)

Asylum
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Message par Asylum » 09 juin 2006 18:27

Juste pour dire que ces émeutes étaient évidemment politique puisqu'elles avaient vocation à entrer dans le débat public. "politique" ça veut pas dire "anarchiste".
"Nous considérons les fins inséparables des moyens, parce que les méthodes de lutte laissent déjà entrevoir la vie pour laquelle nous nous battons".

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Message par Torchons & Soviets » 09 juin 2006 19:12

STARSKY a écrit :C'était pas les mêmes que chez moi... :)
à la fin de celle où on suit le point de vue de plusieurs personnages (celui qui démissione de sont taf, les flics, le vieux raciste, etc...), les jeunes se proposent d'aller acceuillir les flics et même de leur rendre visite au commico, on parle bien de celle-là ?
compte mort

Molodoi

Message par Molodoi » 09 juin 2006 20:09

oula ya eu de la réponse!

bon deja rasch cx rousse, qui te dit que je n'habite pas en banlieue?? ensuite si j'ai la mort contre les gens qui ont brulé la caisse de leur voisin, j'ai mes raison:ma grd mère habite à coté du quartier du miraille a toulouse et a eu sa voiture brulée en novembre, voiture qui appartenait de plus à mon grand père décédé et tu va peut etre trouvé sa con, mais elle avait une certaine valeur sentimentale cette caisse. alors quand j'entends des propos genre "oai c'est pas grave les voitures qui brulent tant que l'état est touché", permet moi de pas apprécier. si c'est si peu grave, tu pourrai ptetre me filer un peu de thune pour lui permettre se s'en payer une nouvelle non? alors après, si pour toi ne pas aplaudire la voiture famillialle en train de bruler, c'est etre sarkoziste, alors si tu veux je le suis. enfin, comme tu l'as dit toi meme, en étant "loin d'habité un quartier pop", c'est tout de suite plus facile. Mais vraiment, je suis étonné qu'un "red and anarchiste" se branle à ce point de la majoté des habitants des cités
alors oui, y'a surment eu des effet positifs dans ces émeutes mais j'ai du mal à les mettre sur un pieds d'estale par rapport au négatifs, tellement plus concrets et nombreux malheurseument ( ne serait-ce que la foule de nouveaux electeurs qui se pressent derière sarko ou pire le pen depuis novembre)

tu dis aussi que si brulé les voitures des voisins, c'est pas cool (mais c'est pas grave), brulé les bus et les écoles ça c'est super cool!:shock:
"éduque toi si tu veux t'en sortir" disait Assassin avec raison (comme souvent). "a tous les jeunes qui m'écoutent poursuivez vos études pour avoir l'aptitude de contrer le pouvoir en place" ("a qui l'histoire"- le futur...vol. 1). tout est là. et ça rique d'etre difficile si c'est si contructif de bruler les écoles.

une dernière chose, pourquoi est-ce vous vous obstinez à défendre ces gens qui pourtant vous ont attaqué lors des manifs anti-CPE?? là aussi c'était politique leurs attaques?? et pourtant c'était les meme qu'en Novembre. ou peut etre etes vous masochistes?

enfin, sinon plutot d'accord avec starsky dans l'ensemble de ses propos et au fait, je ne suis pas révolutionair comme certains l'inssinuai.

Uncas
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Message par Uncas » 09 juin 2006 20:22

:sm25:

"Tant que la justice de l'état sera violence, la violence du peuple sera justice"

je veux pas dire mais qu'est-ce que la voiture de ta grand mère vient faire la dedans ? il y a des jeunes qui tous les jours subissent la violence de l'état, controles policier abusifs, placés en zep sans espoir de sortir de la merde... il y une étincelle, la mort de 2 jeunes poursuivi par la police... et là les banlieus s'enflamme, la violence explose, car pour se faire entendre ils n'ont d'autres moyen que la violence... aujourd'hui si tu veux te faire entendre il faut du spectaculaire.
et toi tu nous parle de la voiture de ta grand mère, ouai c'est chiant mais c'est rien, ou si peu... enfin c'est pas comme ça qu'on fera avancer les choses.

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Acrate33
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Message par Acrate33 » 09 juin 2006 20:40

vous vous obstinez à défendre ces gens qui pourtant vous ont attaqué lors des manifs anti-CPE?? là aussi c'était politique leurs attaques?? et pourtant c'était les meme qu'en Novembre
ça c'est un propos raciste. De la prose de JI dans toute sa splendeur... Le même pretexte que la CGT quand elle a organisé sa ratonnade. "c'était les mêmes"... quel don de divination...des noirs et des arabes, c'est comme ça que tu les reconnais ?

alors pour les mongoliers, quelques evidences :

1) les émeutes ont durées TROIS SEMAINES. il y a eu des milliers d'arrestations. un peu long et risqué pour juste des branleurs qui foutent la merde non ?

2) il y a eu, au bas mots, des milliers d'émeutiers. Ils auraient donc tous (puisque c'est les mêmes...) attaqué les manifs anti CPE, ça se serait pas passé comme ça....


je sais pas ce que fout le modérateur, mais le molodoi il pue, comme son pseudo (parceque orange mecanique ça c'est pas - au mieux - des petits branleurs qui castagnent et qui violent pour le fun ou - au pire - un etron de la scene punk ?).

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Message par Uncas » 09 juin 2006 20:49

de 1, je vois pas où est le racisme
de 2, molodoi a le droit de s'exprimer comme tout le monde même si c'est pour dire des conneries, et vouloir le bayonner ne solutionnera rien, et c'est encore plus con

edit: et de 3, t'as rien compris à orange mécanique... :roll:

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