SANTE CASERIO
j'ai pas la traduction en breton ou en gallo, désolé!Travailleurs, c’est pour vous ce chant
De ma chanson qui a la saveur de pleur
Et qui souvient un fort et vaillant garçon
Qui pour amour des vous a défié la mort
À toi, Caserio, brûlait dans la pupille la scintille des vengeances humaines
Et à la plèbe qui travail et gémit
Tu donnas chaque ton affection, chaque ton espoir.
Tu étais dans la splendeur de la vie
Et tu ne voyais pas quelle nuit infinie,
La nuit des douleurs et de la faim
Qui menace sur l’humanité immense.
Et tu levais toi en acte de douleur, des inconnus tourments vengeur ;
Et tu te jetais, ainsi bon et mite,
Pour écarter l’âmes esclaves et avilies
Tremblant les puissants à l’acte fier
Et nouveaux pièges tendais à la pensée
Mais le peuple à lequel tu tout donnas
Ne te comprit pas, en revanche tu ne te rendis pas
Et tes vingt ans, pendant une funeste matinée, jetas
au monde de la guillotine, au monde vile ta grande
âme pie, en criant fort: vive l’anarchie!
Dors toi, Caserio, là bas dans la froide terre
D’où tu sentiras rugir la finale guerre.