
Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
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- Enregistré le : 24 août 2006 13:24
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Je me suis zoomé Attack the Block. Je suis resté un peu sur ma fin, j'ai trouvé le scénario original mais l'ensemble reste trop "bon esprit". C'est ni drôle, ni effrayant, on se croirait plus dans une comédie(?) familiale... La fin avec le drapeau anglais est venue achever le tout. Pour finir ça se regarde mais c'est pas indispensable.


Narvalo With Attitude
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Hey tout le monde,
une petite découverte pour moi, peut-être d'autres personnes connaissent déjà, pas un film mais une série, PSYCHOVILLE.
Alors je vais pas en dire trop, pour laisser les gens découvrir, c'est une série anglaise (avec des gens de LEAGUE OF GENTLEMEN, pour celles/ceux qui connaissent), c'est vraiment déjanté, supers acteurs, 2 saisons (pour le moment?), trouvables en dl en cherchant bien, et vostfr bien sûr.
une petite découverte pour moi, peut-être d'autres personnes connaissent déjà, pas un film mais une série, PSYCHOVILLE.
Alors je vais pas en dire trop, pour laisser les gens découvrir, c'est une série anglaise (avec des gens de LEAGUE OF GENTLEMEN, pour celles/ceux qui connaissent), c'est vraiment déjanté, supers acteurs, 2 saisons (pour le moment?), trouvables en dl en cherchant bien, et vostfr bien sûr.
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Very big stress (the visioneers)
Il suffit de la présence de Zach Galifianakis sur la jaquette pour qu’un titre comme Visioneers se transforme par la magie du marketing en Very Big Stress. C’est d’autant plus amusant car c’est le monde industriel et capitaliste qui est critiqué ici, où tout est poussé à des limites stressant les gens à un point qu’ils se mettent à exploser littéralement.
Chose à préciser tout de suite, l’histoire prend place dans une réalité alternative, tout comme dans The Invention of Lying, et donc toutes sortes de choses inattendues arrivent, dont les explosions citées plus haut, mais aussi d’autres, dont le salut, qui consiste en un doigt d’honneur, servant de métaphore pour mettre en avant ce que pensent en réalité les cadres qui se disent bonjour dans les grandes firmes.
Le monde est devenu un havre de stress, et les chiffres le démontrent, et c’est de ceux-ci que cette œuvre se nourrit, la rendant contemporaine et particulièrement en phase avec la société actuelle. Galifianakis développe les premiers symptômes de stress, et effrayé à l’idée d’exploser, il se remet en cause, car la bulle formatée dans laquelle il vit l’a poussé à suivre le même chemin que les autres, et finalement vivre une vie qui ne lui convient pas.
Bref, Very Big Stress est une œuvre complexe, originale et dystopique, critiquant avec brio la société actuelle, déshumanisée et où tout le monde cache ses sentiments, craignant d’exploser, ou plus concrètement, faire une dépression, et être jugé.
Très noir et fataliste, situé dans un monde farfelu pour souligner l’absurdité de notre monde, cette production n’est pas une comédie comme son titre pourrait le laisser penser, mais plutôt un drame, bien qu’elle dispose d’une certaine dose d’humour particulièrement acerbe.
Au delà de la critique, un message, vos maux peuvent venir de la société qui vous a conditionné, mais quand rien ne va plus, c’est à vous de prendre les choses en main afin de vivre la vie que vous voulez, et non celle que vous avez choisi sans vraiment y réfléchir.
Les frères Drake, qui produisent, scénarisent et réalisent ici leur premier long-métrage s’en sortent donc avec brio, bien que certaines parties aient tendance à brasser un peu du vent, mais ça serait pinailler sur la forme.
Pour conclure, les amateurs de comédies façon Very Bad Trip risquent de déchanter dès les premières minutes, et sourciller d’incompréhension, ceci du à son titre français qui repousse une nouvelle fois les limites jusqu’auxquelles sont capables d’aller les distributeurs. Encore une fois, ce sont ceux qui seront à la recherche d’un drame mêlant critique de société et réflexion sociale qui risquent de louper cette production à cause de son titre, mais s’ils vont au-delà de celui-ci, ils auront probablement le produit qu’ils recherchent.
Mention spéciale pour Zach Galifianakis qui apparaît enfin dans un rôle qui fait enfin appel à ses talents en comédie et ne lui demande pas uniquement de faire le taré comme dans la pile de comédies dénuées d’humour dans lesquelles on l’a vu.
Le chat du Rabbin: autant je n'ai jamais accroché à Sfar en BD, autant j'ai passé un bon moment devant ce dessin animé.
Tous les soleils: Comédie dramatique gentillette
Il suffit de la présence de Zach Galifianakis sur la jaquette pour qu’un titre comme Visioneers se transforme par la magie du marketing en Very Big Stress. C’est d’autant plus amusant car c’est le monde industriel et capitaliste qui est critiqué ici, où tout est poussé à des limites stressant les gens à un point qu’ils se mettent à exploser littéralement.
Chose à préciser tout de suite, l’histoire prend place dans une réalité alternative, tout comme dans The Invention of Lying, et donc toutes sortes de choses inattendues arrivent, dont les explosions citées plus haut, mais aussi d’autres, dont le salut, qui consiste en un doigt d’honneur, servant de métaphore pour mettre en avant ce que pensent en réalité les cadres qui se disent bonjour dans les grandes firmes.
Le monde est devenu un havre de stress, et les chiffres le démontrent, et c’est de ceux-ci que cette œuvre se nourrit, la rendant contemporaine et particulièrement en phase avec la société actuelle. Galifianakis développe les premiers symptômes de stress, et effrayé à l’idée d’exploser, il se remet en cause, car la bulle formatée dans laquelle il vit l’a poussé à suivre le même chemin que les autres, et finalement vivre une vie qui ne lui convient pas.
Bref, Very Big Stress est une œuvre complexe, originale et dystopique, critiquant avec brio la société actuelle, déshumanisée et où tout le monde cache ses sentiments, craignant d’exploser, ou plus concrètement, faire une dépression, et être jugé.
Très noir et fataliste, situé dans un monde farfelu pour souligner l’absurdité de notre monde, cette production n’est pas une comédie comme son titre pourrait le laisser penser, mais plutôt un drame, bien qu’elle dispose d’une certaine dose d’humour particulièrement acerbe.
Au delà de la critique, un message, vos maux peuvent venir de la société qui vous a conditionné, mais quand rien ne va plus, c’est à vous de prendre les choses en main afin de vivre la vie que vous voulez, et non celle que vous avez choisi sans vraiment y réfléchir.
Les frères Drake, qui produisent, scénarisent et réalisent ici leur premier long-métrage s’en sortent donc avec brio, bien que certaines parties aient tendance à brasser un peu du vent, mais ça serait pinailler sur la forme.
Pour conclure, les amateurs de comédies façon Very Bad Trip risquent de déchanter dès les premières minutes, et sourciller d’incompréhension, ceci du à son titre français qui repousse une nouvelle fois les limites jusqu’auxquelles sont capables d’aller les distributeurs. Encore une fois, ce sont ceux qui seront à la recherche d’un drame mêlant critique de société et réflexion sociale qui risquent de louper cette production à cause de son titre, mais s’ils vont au-delà de celui-ci, ils auront probablement le produit qu’ils recherchent.
Mention spéciale pour Zach Galifianakis qui apparaît enfin dans un rôle qui fait enfin appel à ses talents en comédie et ne lui demande pas uniquement de faire le taré comme dans la pile de comédies dénuées d’humour dans lesquelles on l’a vu.
Le chat du Rabbin: autant je n'ai jamais accroché à Sfar en BD, autant j'ai passé un bon moment devant ce dessin animé.
Tous les soleils: Comédie dramatique gentillette
Et pendant ce temps là, papon, libre jubile
l'état n'est pas ingrat quand on lui est servile
Chassant négligemment d’un revers de la main
L’image des enfants qui partent dans les trains
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Je recherche partout un documentaire passé sur arte il y a quelques années "all power to the people the black panther party and beyond", il est trouvable en streaming, ou en vo, mais j'aimerais bien trouver en dl vostfr, ou juste les sous-titres.
Si il y a une bonne âme parmi vous qui saurait m'aider. Merci
Si il y a une bonne âme parmi vous qui saurait m'aider. Merci
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
C'est à peu près la même sensation que j'ai eu.niap a écrit : Le chat du Rabbin: autant je n'ai jamais accroché à Sfar en BD, autant j'ai passé un bon moment devant ce dessin animé.
Et pour fêter l’acquisition d'un projecteur, je me suis maté True Grit des Coen. Super film.
Organic farmer
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Evil Alien:
Une équipe de télévision arrive dans le Pays de Galles pour commenter sur l'histoire d'une femme qui s'est fait violer par des extraterrestres et le hasard veut qu'ils tombent réellement sur ces aliens et c'est ainsi que démarre le carnage.

Une équipe de télévision arrive dans le Pays de Galles pour commenter sur l'histoire d'une femme qui s'est fait violer par des extraterrestres et le hasard veut qu'ils tombent réellement sur ces aliens et c'est ainsi que démarre le carnage.
Et pendant ce temps là, papon, libre jubile
l'état n'est pas ingrat quand on lui est servile
Chassant négligemment d’un revers de la main
L’image des enfants qui partent dans les trains
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Est-ce que quelqu'un a vu "De l'encre" de la rumeur ?
J'ai un doute monstrueux sur la fin : soit c'est génial, soit c'est nul à chier
.
J'ai un doute monstrueux sur la fin : soit c'est génial, soit c'est nul à chier

"Ni les barricades éteintes sur des chemins recouverts de milles éclats de verre où fument les carcasses éventrées de voitures calcinées ; ni la colère privée d'ailes, ni le désespoir tout au bout des pierres et des cocktails balancés à genoux (...), rien ne se perd"
-
- zonard-e
- Messages : 140
- Enregistré le : 22 févr. 2007 16:29
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Pas encore mais si t'as un lien je suis preneur
Sinon dernièrement DRIVE, bonne claque visuelle, après y a pas vraiment de fond et les situations sentent le déjà vu. Mais on retrouve des mafieux en jogging/chaine en or comme dans Pusher, ca file un coup de vieux à Scorcese et ses disciples !! Et puis y a vraiment des pures scenes (dont celle d'ouverture). Je conseille (surtout à ceux qui kiffent les films noirs/polars).
THE ARTIST, après le battage médiatique, j'y allais en étant persuadé d'être déçu et puis non. Là aussi de bonnes idées (la scène dans l'escalier du studio, le cauchemard,...) mais quelques longueurs. Le côté "pari/performance du cinéma français" se ressent un peu trop et le scénario pompé à droite à gauche dans les classiques américains (chantons sous la pluie, etc...) font que c'est pas aussi bien que les critiques veulent nous faire croire mais ça reste un bon film.
Et puis on a (enfin) maté le concert de Zabriskie Point avec les interviews du groupe (enfin de Bégaudeau surtout) ! Franchement y a des répliques cultes ("la subversion en 99 c'est d etre romantique!" "le coté balzacien.."). J'ai compris pourquoi il énervait autant certain surtout après sa critique de l'anarcopunk eh eh. Mais dans le genre comedie familiale ça se laisse regarder (et puis j'aime quand meme bien la bande son!)

Sinon dernièrement DRIVE, bonne claque visuelle, après y a pas vraiment de fond et les situations sentent le déjà vu. Mais on retrouve des mafieux en jogging/chaine en or comme dans Pusher, ca file un coup de vieux à Scorcese et ses disciples !! Et puis y a vraiment des pures scenes (dont celle d'ouverture). Je conseille (surtout à ceux qui kiffent les films noirs/polars).
THE ARTIST, après le battage médiatique, j'y allais en étant persuadé d'être déçu et puis non. Là aussi de bonnes idées (la scène dans l'escalier du studio, le cauchemard,...) mais quelques longueurs. Le côté "pari/performance du cinéma français" se ressent un peu trop et le scénario pompé à droite à gauche dans les classiques américains (chantons sous la pluie, etc...) font que c'est pas aussi bien que les critiques veulent nous faire croire mais ça reste un bon film.
Et puis on a (enfin) maté le concert de Zabriskie Point avec les interviews du groupe (enfin de Bégaudeau surtout) ! Franchement y a des répliques cultes ("la subversion en 99 c'est d etre romantique!" "le coté balzacien.."). J'ai compris pourquoi il énervait autant certain surtout après sa critique de l'anarcopunk eh eh. Mais dans le genre comedie familiale ça se laisse regarder (et puis j'aime quand meme bien la bande son!)
- melvinjunko
- pilier de bar
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- Enregistré le : 19 mai 2009 14:12
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
scathed a écrit :Je recherche partout un documentaire passé sur arte il y a quelques années "all power to the people the black panther party and beyond", il est trouvable en streaming, ou en vo, mais j'aimerais bien trouver en dl vostfr, ou juste les sous-titres.
Si il y a une bonne âme parmi vous qui saurait m'aider. Merci
Yo ! Je l'ai ce documentaire (j'ai rippé ma VHS enregistrée lors du passage sur Arte), contacte moi par mp et on se débrouille pour que je te fasse passer un dvd gravé. (J'ai pas mal d'autres docs sur le BPP si ça t'intéresse aussi)
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Dead Snow: des ados, des nazis des zombies, des nazis zombies et une cabane perdue dans la montagne...
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