C'est vrai que le scénario est ultra-léger, c'est impressionnant !
Quand le film se finit, il n'y a pas grand chose de différent par rapport au début.
Et surtout, ce qui m'a saoulé, c'est la longue liste d'effets pour "faire cinéma" (bon, ok, le cinéma m'emmerde de façon générale !).
Genre on filme un avion qui passe.
Oui, bonne idée, ça, coco, un avion, ça symbolise le départ, l'éloignement, etc. Et tu le filmes sous l'eau à la piscine aussi, ça symbolise son isolement, son univers dans lequel il se noie, ce genre de truc. En plus, ça fera écho à la scène dans la baignoire. Trop fort, ça, Télérama va kiffer ! Et puis tu me le filmes quand il court dans un champ derrière un train, aussi. Ça symbolise, euh, je sais pas, mais y'aura toujours des couillons pour trouver que c'est bourré de symbolique !
Maintenant, parlons musique :
kolonel muller a écrit :bande son très punk à clous CASUALTIES , PESTPOKEN , etc ...
Pespocken ? Même pas fait gaffe ! A quel moment ?
Et il s'agit de quel groupe que l'on entend quand il se rase les cheveux (à partir de 67:30) ?
Du crust de salon avec un violoncelle dans une veine Fall Of Efrafa / Garmonbozia.
Mais soyons honnêtes, le meilleur moment du film, c'est quand il courent en sortant de l'épicerie sur du Casualties, "we are all we have" !