Pff, toujours pas tatoué, moué !
En fait, l'envie me prends par période, je me souviens vers l'été 2005, j'étais bien partant pour un motif celtique, un truc assez compliqué à décrire, en noir bien sur. Puis l'envie de tatouage m'a passé, et pourra revenir, sans doute.
Sinon, je m'étais promis si j'arrivais aux 10 ans du zine de me tatouer le logo Dynamite sur le torse, en assez petit (10 cm max) et sans la mention texte "Dynamite Records", vu que le but n'est pas de faire un encart pub non plus !
Mais bon, vu que 2006 marquera certainement l'arrêt du zine qui s'échoue lamentablement en se dirigeant vers ses 8 ans, la question n'est plus à l'étude pour le moment.
Plus généralement, le tatouage est un sujet qui m'inspire des réactions contradictoires, entre le souhait de marquer une époque, et le souhait antagonique de pouvoir passer à autre chose sans être ramené au passé, comme on peut le faire en choisissant de changer de ville, de pays ou de vie. Là bien sûr je parle plus des tatouages liés à la scène.
Pour les tatoos à connotation plus artistiques, là c'est clair que ça s'explique pas, on flashe sur un truc, on se le fait tatouer et basta.
Pour ça encore faut-il l'avoir trouvé !
(si, dernièrement, j'ai flashé sur ton dessin "P4 et la BAC", version corrigée d'un ancien dessin P4 à l'Attaque, c'est quand même pas pour ça que je vais me le faire tatouer !!

)