que lisez-vous en ce moment ? - le retour -
- Chéri-Bibi
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Re: que lisez-vous en ce moment ? - le retour -
Bon Niap, quand c'est que t'édites un zine littéraire?
Je te proposerais bien d'étaler tes chroniques dans le Chéribibi, mais vu ton rythme effréné -et vu le mien- y'aura jamais la place pour ta boulimie!
Je te proposerais bien d'étaler tes chroniques dans le Chéribibi, mais vu ton rythme effréné -et vu le mien- y'aura jamais la place pour ta boulimie!
IN GIRUM IMUS NOCTE ET CONSUMIMUR IGNI
Nous tournons en rond dans la nuit et le feu nous dévore
Nous tournons en rond dans la nuit et le feu nous dévore
Re: que lisez-vous en ce moment ? - le retour -
C'est gentil ce que tu dis, malheureusement, je ne sais pas "écrire" à propos de mes lectures, je suis loin d'être un littéraire.
A priori, "la zonzon" (que je cite au dessus) devrait être dans le ton du Chéribibi. J'essaie d'en reparler dès que je l'ai lu.
J'attends le CB N°7 avec impatience.
A priori, "la zonzon" (que je cite au dessus) devrait être dans le ton du Chéribibi. J'essaie d'en reparler dès que je l'ai lu.
J'attends le CB N°7 avec impatience.
Et pendant ce temps là, papon, libre jubile
l'état n'est pas ingrat quand on lui est servile
Chassant négligemment d’un revers de la main
L’image des enfants qui partent dans les trains
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- Chéri-Bibi
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Re: que lisez-vous en ce moment ? - le retour -
Moi aussi.niap a écrit :
J'attends le CB N°7 avec impatience.

IN GIRUM IMUS NOCTE ET CONSUMIMUR IGNI
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Re: que lisez-vous en ce moment ? - le retour -
Et tu seras pas là le 26 novembre : dommage !!!niap a écrit :C'est gentil ce que tu dis, malheureusement, je ne sais pas "écrire" à propos de mes lectures, je suis loin d'être un littéraire.
A priori, "la zonzon" (que je cite au dessus) devrait être dans le ton du Chéribibi. J'essaie d'en reparler dès que je l'ai lu.
J'attends le CB N°7 avec impatience.
Sinon, en ce moment
Bon, chez Métailié, on est à peu près toujours sûr de la qualité, mais là il s'agit d'un des plus extraordinaires romans que j'aie lus depuis des années. Attention, pas facile : phrases et chapitres très longs, un minimum de connaissances historiques nécessaire sinon on est vite largué. Par contre l'alternance des narrations facilite et allège la lecture à mon avis. Je n'en suis qu'au tiers. J'essaierai d'en parler plus quand je l'aurai fini...L'Homme qui aimait les chiens
Leonardo Padura
Il suffirait à un auteur de romans policiers d'ouvrir un dictionnaire historique pour y trouver les intrigues, les rebondissements et les meurtres les plus effroyables qui soient. Il arrive souvent que la réalité défie la fiction. L'un des assassinats politiques les plus célèbres du XXe siècle est celui de Léon Trotski, tué d'un coup de piolet dans la tête par un certain Ramón Mercader, à Mexico, en 1940. Le fait est avéré, on connaît aussi bien l'identité de la victime que celle du commanditaire. Dans L'Homme qui aimait les chiens, le Cubain Leonardo Padura suit pas à pas Lev Davidovitch Bronstein, alias Léon Trotski, et Marcader qui sera son meurtrier. Trotski, le héros de la révolution russe, ami de Lénine, est un homme pourchassé. Dans un polar, on dirait que Staline veut sa peau - ce qu'un livre universitaire ne saurait d'ailleurs réfuter. Exilé en Turquie, en France, en Norvège, finalement au Mexique, Trotski sent l'étau se resserrer autour de lui et de ses proches, menacés, victimes d'intimidation, ou purement et simplement assassinés. On l'accuse de tous les maux, y compris les plus invraisemblables - mais quelle invraisemblance une machine de propagande soutenue par un appareil policier n'est-elle pas capable de faire admettre ?
Ramón Mercader, lui, est un jeune Espagnol engagé dans la guerre civile pour lutter contre les franquistes. Il assiste, incrédule, aux luttes fratricides entre anarchistes, militants du Poum, socialistes, avant d'être embrigadé par les communistes. Il devient « le soldat 13 », machine à tuer formée dans les camps d'entraînement soviétiques, puis Jacques Mornard, un nom d'emprunt qui le fait définitivement basculer dans la lutte clandestine et le destine à sa mission : tuer Trotski, fondateur de la IVe Internationale.
Leonardo Padura sait raconter des histoires policières aux arrière-plans bien plus profonds que le simple déroulement des événements. Dans ses romans antérieurs, les péripéties traversées par le lieutenant cubain Mario Conde ont témoigné du regard toujours affûté de l'écrivain sur la réalité sociale et politique de son pays, Cuba. Il vit ici avec ses personnages, scrute leurs doutes et leurs certitudes. Et même s'il connaît l'issue de l'affaire, le lecteur est entraîné dans une incroyable histoire où trahisons, mensonges, dénonciations et faux-semblants font sans cesse rebondir un récit haletant. Quant à l'homme qui aimait les chiens qui donne son titre au roman, silhouette mystérieuse qui promène ses lévriers russes sur les plages de La Havane, il serait indélicat de dévoiler ici son identité. Il faut laisser au lecteur le soin de découvrir toutes les nuances de rouge qui teintent ce superbe livre.
Gilles HeuréTraduit de l'espagnol (Cuba) par René Solis et Elena Zayas, éd. Métailié, 672 p., 24 EUR.

"La religion est la forme la plus achevée du mépris."
(Raoul Vaneigem)
(Raoul Vaneigem)
Re: que lisez-vous en ce moment ? - le retour -
Je suis en train de découvrir Padura. Une amie m'a offert "Passé parfait". Pour le moment ça va (je suis pas loin dans le livre, je lis lentement en ce moment)
Organic farmer
Re: que lisez-vous en ce moment ? - le retour -
Pas encore lu, mais je crois que je vais pour une fois, me laisser tenter par un prix littéraire:
27/10/2011 à 17:10
Sorj Chalandon couronné par le Grand prix du roman de l'Académie française
Le Grand prix du roman de l'Académie française a été décerné jeudi à Sorj Chalandon pour "Retour à Killybegs" (Grasset), un livre captivant sur l'Irlande du Nord et la douleur amère de la trahison.
Sorj Chalandon, également finaliste du Goncourt et l'Interallié, a été choisi "au premier tour de scrutin, par 13 voix sur 20", a annoncé Hélène Carrère d'Encausse, secrétaire perpétuelle de l'Académie française, qui ouvre ainsi la saison des grands prix littéraires d'automne.
Laurence Cossé, avec "Les amandes amères" (Gallimard) a obtenu 4 voix et Jean Rolin, avec "Le ravissement de Britney Spears" (P.O.L)), en a totalisé 2, tandis que le scrutin recensait un vote blanc.
"Tout nous a plu dans ce livre: l'histoire, la langue mais c'est aussi le sacre de toute l'oeuvre de l'auteur", a souligné Hélène Carrère d'Encausse.
Né le 16 mai 1952, journaliste au quotidien Libération pendant 34 ans, de 1973 à février 2007, l'auteur a rejoint ensuite le Canard enchaîné. Il a publié cinq romans.
Ce reporter a couvert de nombreux conflits. Mais c'est à Belfast, dans les années 1970, qu'il découvrira la guerre, à une heure et demie d'avion de Paris.
Il tombe amoureux de l'Irlande du Nord, de son peuple, de sa langue et s'identifie à sa lutte contre la domination britannique.
"Aujourd'hui, les prisonniers de l'IRA sont devenus immortels", déclarait-il jeudi à l'AFP. "C'est un jour d'autant plus fantastique pour moi que c'est aujourd'hui que Martin McGuinness, l'ancien chef d'Etat-Major de l'IRA, se présente à la présidence de la République d'Irlande".
M. McGuinness, vice-Premier ministre nord-irlandais et ancien responsable du groupe indépendantiste de l'Armée républicaine irlandaise (IRA), est l'un des sept candidats à briguer jeudi le poste de président irlandais, principalement honorifique.
Et même s'il n'a pas de chance d'être élu, "cela montre que la frontière n'a plus lieu d'être entre les deux pays", l'Ulster et l'Irlande, estime Sorj Chalandon.
Le journaliste reçoit le Prix Albert Londres en 1988 pour ses reportages sur Belfast et le procès Barbie, et le Médicis, en 2006, pour son deuxième roman "Une Promesse", après "Le Petit Bonzi", souvenirs de son enfance lyonnaise.
Viendra ensuite "Mon traître" en 2008. Au coeur de ce livre, la trahison de son ami Denis Donaldson, figure emblématique de l'IRA. Le romancier le rebaptisera Tyrone Meehan.
C'est encore lui le héros de "Retour à Killybegs", mais il devient le narrateur de sa propre histoire. L'auteur le fait revenir, vieillard traqué, dans la maison de son enfance.
Il raconte ses premières années entre coups et misère, comment la famille quitte la République d'Irlande pour Belfast, l'enrôlement dans l'IRA à 16 ans, son image de héros aux yeux des siens. Un jour, il tue par erreur un de ses frères d'armes et le tait. Mais les services britanniques le savent, le font chanter. Tyrone devient un agent double.
Le roman alterne entre ses ultimes jours à Killybegs et ses années au sein de l'IRA, revient dans des pages bouleversantes sur les grèves de la faim des prisonniers irlandais, le processus de paix. Un superbe livre à la voix juste sur l'amitié bafouée, la trahison, la honte, mais aussi sur ces vies offertes à une cause.
"J'écrirai encore sur l'Irlande, mais plus jamais sur cette histoire de trahison", dit aujourd'hui Sorj Chalandon.
27/10/2011 à 17:10
Sorj Chalandon couronné par le Grand prix du roman de l'Académie française
Le Grand prix du roman de l'Académie française a été décerné jeudi à Sorj Chalandon pour "Retour à Killybegs" (Grasset), un livre captivant sur l'Irlande du Nord et la douleur amère de la trahison.
Sorj Chalandon, également finaliste du Goncourt et l'Interallié, a été choisi "au premier tour de scrutin, par 13 voix sur 20", a annoncé Hélène Carrère d'Encausse, secrétaire perpétuelle de l'Académie française, qui ouvre ainsi la saison des grands prix littéraires d'automne.
Laurence Cossé, avec "Les amandes amères" (Gallimard) a obtenu 4 voix et Jean Rolin, avec "Le ravissement de Britney Spears" (P.O.L)), en a totalisé 2, tandis que le scrutin recensait un vote blanc.
"Tout nous a plu dans ce livre: l'histoire, la langue mais c'est aussi le sacre de toute l'oeuvre de l'auteur", a souligné Hélène Carrère d'Encausse.
Né le 16 mai 1952, journaliste au quotidien Libération pendant 34 ans, de 1973 à février 2007, l'auteur a rejoint ensuite le Canard enchaîné. Il a publié cinq romans.
Ce reporter a couvert de nombreux conflits. Mais c'est à Belfast, dans les années 1970, qu'il découvrira la guerre, à une heure et demie d'avion de Paris.
Il tombe amoureux de l'Irlande du Nord, de son peuple, de sa langue et s'identifie à sa lutte contre la domination britannique.
"Aujourd'hui, les prisonniers de l'IRA sont devenus immortels", déclarait-il jeudi à l'AFP. "C'est un jour d'autant plus fantastique pour moi que c'est aujourd'hui que Martin McGuinness, l'ancien chef d'Etat-Major de l'IRA, se présente à la présidence de la République d'Irlande".
M. McGuinness, vice-Premier ministre nord-irlandais et ancien responsable du groupe indépendantiste de l'Armée républicaine irlandaise (IRA), est l'un des sept candidats à briguer jeudi le poste de président irlandais, principalement honorifique.
Et même s'il n'a pas de chance d'être élu, "cela montre que la frontière n'a plus lieu d'être entre les deux pays", l'Ulster et l'Irlande, estime Sorj Chalandon.
Le journaliste reçoit le Prix Albert Londres en 1988 pour ses reportages sur Belfast et le procès Barbie, et le Médicis, en 2006, pour son deuxième roman "Une Promesse", après "Le Petit Bonzi", souvenirs de son enfance lyonnaise.
Viendra ensuite "Mon traître" en 2008. Au coeur de ce livre, la trahison de son ami Denis Donaldson, figure emblématique de l'IRA. Le romancier le rebaptisera Tyrone Meehan.
C'est encore lui le héros de "Retour à Killybegs", mais il devient le narrateur de sa propre histoire. L'auteur le fait revenir, vieillard traqué, dans la maison de son enfance.
Il raconte ses premières années entre coups et misère, comment la famille quitte la République d'Irlande pour Belfast, l'enrôlement dans l'IRA à 16 ans, son image de héros aux yeux des siens. Un jour, il tue par erreur un de ses frères d'armes et le tait. Mais les services britanniques le savent, le font chanter. Tyrone devient un agent double.
Le roman alterne entre ses ultimes jours à Killybegs et ses années au sein de l'IRA, revient dans des pages bouleversantes sur les grèves de la faim des prisonniers irlandais, le processus de paix. Un superbe livre à la voix juste sur l'amitié bafouée, la trahison, la honte, mais aussi sur ces vies offertes à une cause.
"J'écrirai encore sur l'Irlande, mais plus jamais sur cette histoire de trahison", dit aujourd'hui Sorj Chalandon.
Et pendant ce temps là, papon, libre jubile
l'état n'est pas ingrat quand on lui est servile
Chassant négligemment d’un revers de la main
L’image des enfants qui partent dans les trains
l'état n'est pas ingrat quand on lui est servile
Chassant négligemment d’un revers de la main
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Re: que lisez-vous en ce moment ? - le retour -

hihihi
et déjà les réactions:
Publié par marc
Larcenet !!! C'est une grosse mauvaise blague ou quoi??? Comment est-ce que l'on peut laisser un expert en gribouillage faire un album de Valérian et Laureline??? On ne doit ni toucher ni salir une si belle oeuvre.
Par ailleurs, j'avais promis de parler de "La zonzon".
Alors, niveau style, c'est argotique, il y a du San Antonio là dessous, ça vous retranscrit une ambiance à la Pecherot, c'est dans le thème. Ca parle de Charlie Bauer, de Cipriani, des négresses vertes, d'Alcibiade, d'anarcosyndicalistes et surtout, ça commence par "la ballade des pendus" de Villon et rien que ça...
L'histoire commence bien, le récit de la philo en taule, le rôle de facteur etc, par contre la fin politico amoureuse est dommageable à mon sens ou du moins évitable.
Tu vois Daniel, je suis mauvais pour parler littérature.
J'enchaine avec "les enfants du massacre" de Scerbanenco (http://www.polarnoir.fr/livre.php?livre=liv283), Onze mômes, de 13 à 20 ans, mômes à problèmes, violents, désabusés. Une petite maîtresse du cours du soir, où l'assistante sociale envoie les voyous pour les instruire un peu. Et puis la maîtresse est retrouvée cassée en mille morceaux comme une poupée de porcelaine.
Les mômes opposent à la police un système de défense imparable : c'est pas moi, c'est les autres. J'avais peur, j'ai rien fait, ils m'ont obligé.
Chacun séparément est innocent, et pourtant ils sont tous coupables..
Je débute, mais déjà en 1984 (je parle de la traduction française), on employait le mot racaille pour désigner les enfants des banlieues (fussent elles italiennes).
Et pendant ce temps là, papon, libre jubile
l'état n'est pas ingrat quand on lui est servile
Chassant négligemment d’un revers de la main
L’image des enfants qui partent dans les trains
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L’image des enfants qui partent dans les trains
Re: que lisez-vous en ce moment ? - le retour -
Bon, ben c'était bien réac ce bouquin.
Là, je suis en train de lire deux titres de Sparkle Hayter: Rien de super folichon, mais ça détend. Ca pourrait s'appeler Bridget jones mène l'enquête mais c'est "Les filles n'en mènent pas large" et "les filles sont trop gentilles".
Tout ça en attendant les achats du jour:
Guerre à l'état, luttes autonomes et expériences alternatives au pays basque" de Jtxo Estebaranz
Retour à Killybegs de Sorj Chalandon
L'industrie de la contrainte de Frédéric Gaillard & Pièces et main d'oeuvre http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?rubrique8
Là, je suis en train de lire deux titres de Sparkle Hayter: Rien de super folichon, mais ça détend. Ca pourrait s'appeler Bridget jones mène l'enquête mais c'est "Les filles n'en mènent pas large" et "les filles sont trop gentilles".
Tout ça en attendant les achats du jour:
Guerre à l'état, luttes autonomes et expériences alternatives au pays basque" de Jtxo Estebaranz
Retour à Killybegs de Sorj Chalandon
L'industrie de la contrainte de Frédéric Gaillard & Pièces et main d'oeuvre http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?rubrique8
Et pendant ce temps là, papon, libre jubile
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Re: que lisez-vous en ce moment ? - le retour -
Récemment, j'ai lu un truc surprenant, "Histoire Triste", une nouvelle écrite par le chanteur de....Reich Orgasm.
J'aurais du mal à vous le résumer sans en dévoiler trop, sachez juste qu'on y cause solitude, folie, suicide, alcoolisme....Bref, pas vraiment le truc qui vous file la patate ! Enfin perso, j'ai beaucoup aimé, le style narratif m'a un peu rappelé celui du Kolonel Muller à ses grandes heures, pour ceux que ça intéresse, je vous file le lien :
http://euthanasie.records.free.fr/reich/Jose.pdf
L'idéal c'est de pouvoir l'imprimer si vous avez un plan gratos au taf ou autre, parce que mine de rien ça fait quand même 54 pages donc ça se lit pas en 5 minutes, et je sais pas vous mais moi lire sur l'écran, bof...Enfin pourtant c'est ce que j'ai fait, franchement, si vous avez un peu de temps devant vous, jetez vous dessus, moi ça m'a vraiment botté. Après les goûts et les couleurs, hein ! :-)
J'aurais du mal à vous le résumer sans en dévoiler trop, sachez juste qu'on y cause solitude, folie, suicide, alcoolisme....Bref, pas vraiment le truc qui vous file la patate ! Enfin perso, j'ai beaucoup aimé, le style narratif m'a un peu rappelé celui du Kolonel Muller à ses grandes heures, pour ceux que ça intéresse, je vous file le lien :
http://euthanasie.records.free.fr/reich/Jose.pdf
L'idéal c'est de pouvoir l'imprimer si vous avez un plan gratos au taf ou autre, parce que mine de rien ça fait quand même 54 pages donc ça se lit pas en 5 minutes, et je sais pas vous mais moi lire sur l'écran, bof...Enfin pourtant c'est ce que j'ai fait, franchement, si vous avez un peu de temps devant vous, jetez vous dessus, moi ça m'a vraiment botté. Après les goûts et les couleurs, hein ! :-)
Magicraph is my copilot
Re: que lisez-vous en ce moment ? - le retour -
Depuis fin août je me suis fait happer par la série des "game of thrones". Je me demandais si il y avait eu d'autres victimes ?
Pour dresser le tableau j'avais jamais ouvert un bouquin de fantasy, mais là ... Doit y avoir une centaine de personnages importants, une vingtaines d'intrigues, un univers super attirant et riche, avec une histoire que t'as juste envie de fouiller (même si y a pas (encore ?) un "univers étendu" à la star wars), donc là j'ai lu tous les tomes en français et je suis en manque !
J'entame "L'enfant bleu" de Henry Bauchau, aucun rapport, un roman sur les hôpitaux de jours pour enfants psychotiques.
Pour dresser le tableau j'avais jamais ouvert un bouquin de fantasy, mais là ... Doit y avoir une centaine de personnages importants, une vingtaines d'intrigues, un univers super attirant et riche, avec une histoire que t'as juste envie de fouiller (même si y a pas (encore ?) un "univers étendu" à la star wars), donc là j'ai lu tous les tomes en français et je suis en manque !
J'entame "L'enfant bleu" de Henry Bauchau, aucun rapport, un roman sur les hôpitaux de jours pour enfants psychotiques.
"Nous considérons les fins inséparables des moyens, parce que les méthodes de lutte laissent déjà entrevoir la vie pour laquelle nous nous battons".
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