Clair que c'est loin d'être mon préféré...Il reste tout de même regardable, comparé à d'autres comme "Hôtel des Amériques" par exemple, que je trouve insupportable....Vu hier F... comme Fairbanks. Je suis jamais trop objectif avec les films où Dewaere parade (et compose d'ailleurs la musique pour celui-ci) mais j'ai trouvé la fin de celui-ci un peu abrupte... et puis le gars qui pète les plombs et détruit sa relation avec sa "magnifique désirable plus belle fille du monde" parce qu'il ne trouve pas de travail "honorant" pfff... Reste le jeu d'acteur, incroyable comme toujours, et une réalisation correcte.
Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Magicraph is my copilot
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Yep. y en un dont le titre m'échappe qui est assez redoutable où Dewaere est une sorte de cobaye avant gardiste : des personnes se font 'flasher' et perdent leurs émotions au passage, créant une nouvelle "in-humanité" souriant tout le temps mais assez flippante.
Mode Troll : j'avais la (ridicule) demi-tente orange en slovénie et circulait dans l'ax avec la toccinhell (non, je n'ai pas de rose à la boutonnière)
Mode Troll : j'avais la (ridicule) demi-tente orange en slovénie et circulait dans l'ax avec la toccinhell (non, je n'ai pas de rose à la boutonnière)
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Ouiii, c'est "Paradis pour tous", avec Dutronc !! Je l'ai vu y a pas longtemps celui là, clair qu'il est assez flippant au final.
(Fred ???)
(Fred ???)
Magicraph is my copilot
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
One missed call de Takashi Miike (toujours lui).
Un énième film de fantômes nippon dont l'unique particularité est de jouer le coup du cercle maudit (Ring !) avec des téléphones portables. Une fois passé le questionnement initial (mais pourquoi je reçois un message de moi même daté du surlendemain et qu'ensuite je meurs à l'heure précise de ce message ?) on s'ennuie progressivement devant l'égrènement de scènes déjà vues cent fois (main morte sur l'épaule de la screaming queen, placard ouvert au ralenti mais définitivement vide, spectre n'apparaissant que dans les miroirs, hôpital désaffecté avec ses néons qui clignotent, fantôme de jeune fille au cheveux longs raaaaaaaa encore elle !!). La mise en scène de Miike, quoique un peu convenue, est tout de même efficace par moment et quelques moments presque audacieux arrivent à nous tenir éveiller de justesse. Mais Miike, se disant bien que tout le monde connaissait les twists habituels de film de fantôme, nous en colle une bonne demi douzaine dans les 20 dernières minutes, interminables et pas franchement à la hauteur du brio du réalisateur qu'on peut lui connaitre en terme de surenchère. Bref pas tout à fait dispensable mais surement pas indispensable !
Infernal affairs de Wai-keung Law et Siu Fai Mak.
Premier volet d'un trilogie (je me tape les deux autres ce soir !) dans les classiques décors de Hong-Kong (pour tous ceux qui apprécient les Chan, To, Woo ou Hark) et les habituels ambiance de triades et de flics ombrageux. La réalisation est à la mesure du propos : très classique et réellement efficace. Pas beaucoup de gun fights improbables dans ce scénario aux allures de miroir : un flic infiltré depuis dix ans dans une triade affronte par procuration une taupe qui oeuvre au sein de la police. Si la psychologie des personnages est à peine esquissée, les joutes tactiques et stratégiques des deux sous marins est assez jouissive à suivre. A noter quelques moments d'émotions (plus ou moins réussis) et une morale finale qui appelle une suite. Très bon HK donc !
Mister nice guy de Sammo Hung Kam-bo.
Un petit Jackie Chan pour finir. On se contrefout (mais alors, totalement) du scénario squelettique et de l'histoire complètement débile. Mais on se délecte des scènes de bastons absolument jouissives. Et puis ça n'arrête pas ! Jackie Chan saute dans tous les sens, acrobate émérite et inventif, balance des coups de kick en escaladant une échelle à l'envers, il arrive toujours à surprendre le gaillard ! Bref, un divertissement qui divertit.
En pagaille : - Jumper, film fantastique complètement raté parlant d'un trou du cul bête comme ses pieds qui a le pouvoir de se téléporter et qui est poursuivi par des méchants paladins contemporains (mais qui remonte à l'inquisition, houlala !). Nul à chier, archi-convenu, bêêêêête, mais bêêêêêête !
-Trou noir (pas celui de Disney mais un truc récent), râââââ mais comment on peut pondre des daubes pareilles ?? Un accélérateur de particule foire une expérience (tiens, tiens) et créé un mini trou noir d'où s'échappe une créature (hein ??) qui se nourrit d'électricité (allo ?) et qu'il faut détruire pour supprimer le trou noir (quoi ???). Réalisation digne d'AB production, dialogues pseudo-scientifique à la con (on dit quantique toutes les trois secondes pour faire genre) scénario inepte, bref.
- Un truc avec un astéroïde qui va détruire la Terre, mais seul un astrophysicien-anthropologue connait la vérité grâce aux peintures réalisées par des aborigènes, défoncés au cactus, il y a plusieurs milliers d'année et qui.... prédisent l'avenir. Il n'en faut pas plus à notre éminent scientifique pour prendre d'assaut une base militaire nucléaire secrète américaine et tenter de lancer deux missiles atomique sur le gros caillou du ciel (qui s'appelle... Némésis ! Brrrr). Une des meilleurs phrases du film : "il ne faut pas toujours écouter la logique, la raison ou la science, parfois il faut écouter son coeur" (dixit la fille astrophysicienne de l'astrophysicien-anthropologue-aborigène-terroriste.) Voilà, voilà.
Un énième film de fantômes nippon dont l'unique particularité est de jouer le coup du cercle maudit (Ring !) avec des téléphones portables. Une fois passé le questionnement initial (mais pourquoi je reçois un message de moi même daté du surlendemain et qu'ensuite je meurs à l'heure précise de ce message ?) on s'ennuie progressivement devant l'égrènement de scènes déjà vues cent fois (main morte sur l'épaule de la screaming queen, placard ouvert au ralenti mais définitivement vide, spectre n'apparaissant que dans les miroirs, hôpital désaffecté avec ses néons qui clignotent, fantôme de jeune fille au cheveux longs raaaaaaaa encore elle !!). La mise en scène de Miike, quoique un peu convenue, est tout de même efficace par moment et quelques moments presque audacieux arrivent à nous tenir éveiller de justesse. Mais Miike, se disant bien que tout le monde connaissait les twists habituels de film de fantôme, nous en colle une bonne demi douzaine dans les 20 dernières minutes, interminables et pas franchement à la hauteur du brio du réalisateur qu'on peut lui connaitre en terme de surenchère. Bref pas tout à fait dispensable mais surement pas indispensable !
Infernal affairs de Wai-keung Law et Siu Fai Mak.
Premier volet d'un trilogie (je me tape les deux autres ce soir !) dans les classiques décors de Hong-Kong (pour tous ceux qui apprécient les Chan, To, Woo ou Hark) et les habituels ambiance de triades et de flics ombrageux. La réalisation est à la mesure du propos : très classique et réellement efficace. Pas beaucoup de gun fights improbables dans ce scénario aux allures de miroir : un flic infiltré depuis dix ans dans une triade affronte par procuration une taupe qui oeuvre au sein de la police. Si la psychologie des personnages est à peine esquissée, les joutes tactiques et stratégiques des deux sous marins est assez jouissive à suivre. A noter quelques moments d'émotions (plus ou moins réussis) et une morale finale qui appelle une suite. Très bon HK donc !
Mister nice guy de Sammo Hung Kam-bo.
Un petit Jackie Chan pour finir. On se contrefout (mais alors, totalement) du scénario squelettique et de l'histoire complètement débile. Mais on se délecte des scènes de bastons absolument jouissives. Et puis ça n'arrête pas ! Jackie Chan saute dans tous les sens, acrobate émérite et inventif, balance des coups de kick en escaladant une échelle à l'envers, il arrive toujours à surprendre le gaillard ! Bref, un divertissement qui divertit.
En pagaille : - Jumper, film fantastique complètement raté parlant d'un trou du cul bête comme ses pieds qui a le pouvoir de se téléporter et qui est poursuivi par des méchants paladins contemporains (mais qui remonte à l'inquisition, houlala !). Nul à chier, archi-convenu, bêêêêête, mais bêêêêêête !
-Trou noir (pas celui de Disney mais un truc récent), râââââ mais comment on peut pondre des daubes pareilles ?? Un accélérateur de particule foire une expérience (tiens, tiens) et créé un mini trou noir d'où s'échappe une créature (hein ??) qui se nourrit d'électricité (allo ?) et qu'il faut détruire pour supprimer le trou noir (quoi ???). Réalisation digne d'AB production, dialogues pseudo-scientifique à la con (on dit quantique toutes les trois secondes pour faire genre) scénario inepte, bref.
- Un truc avec un astéroïde qui va détruire la Terre, mais seul un astrophysicien-anthropologue connait la vérité grâce aux peintures réalisées par des aborigènes, défoncés au cactus, il y a plusieurs milliers d'année et qui.... prédisent l'avenir. Il n'en faut pas plus à notre éminent scientifique pour prendre d'assaut une base militaire nucléaire secrète américaine et tenter de lancer deux missiles atomique sur le gros caillou du ciel (qui s'appelle... Némésis ! Brrrr). Une des meilleurs phrases du film : "il ne faut pas toujours écouter la logique, la raison ou la science, parfois il faut écouter son coeur" (dixit la fille astrophysicienne de l'astrophysicien-anthropologue-aborigène-terroriste.) Voilà, voilà.
Fraction Art Mais Rouge
-[Canal Dissident]-
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
j'ai justement vu le remake d'Eric Valette y a pas longtemps, et il m'a l'air d'être encore plus dispensableTiriwurst a écrit :One missed call de Takashi Miike (toujours lui).
Un énième film de fantômes nippon dont l'unique particularité est de jouer le coup du cercle maudit (Ring !) avec des téléphones portables. Une fois passé le questionnement initial (mais pourquoi je reçois un message de moi même daté du surlendemain et qu'ensuite je meurs à l'heure précise de ce message ?) on s'ennuie progressivement devant l'égrènement de scènes déjà vues cent fois (main morte sur l'épaule de la screaming queen, placard ouvert au ralenti mais définitivement vide, spectre n'apparaissant que dans les miroirs, hôpital désaffecté avec ses néons qui clignotent, fantôme de jeune fille au cheveux longs raaaaaaaa encore elle !!). La mise en scène de Miike, quoique un peu convenue, est tout de même efficace par moment et quelques moments presque audacieux arrivent à nous tenir éveiller de justesse. Mais Miike, se disant bien que tout le monde connaissait les twists habituels de film de fantôme, nous en colle une bonne demi douzaine dans les 20 dernières minutes, interminables et pas franchement à la hauteur du brio du réalisateur qu'on peut lui connaitre en terme de surenchère. Bref pas tout à fait dispensable mais surement pas indispensable !
il est assez bidon, mais il se regarde
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Il trucido e lo sbirro (Le clan des pourris)
Première arrivée du parait il célèbre personnage de Monneza (joué par le fameux Thomas Milian), il s'agit d'un polar à l'intrigue improbable et aux péripéties surréalistes porté par une interprétation outrée de Milian et une musique efficace. On retrouve le sympathoche Henry Silva (qui jouait un des vieux de Ghost dog)... J'avoue que je suis resté un chouia hermétique aux charmes désuets de ce polizotteschi mais le bonus qui va avec est assez golri. Il s'agit essentiellement d'une interview du scénariste Dardano Sachetti qui apporte quelques précisions sur la façon de faire de l'époque, quelques regrets et un peu d'amertume sur le fait qu'il se soit fait voler son personnage et quelques anecdotes (Milian raciste, Umberto Lenzi nul pour les comédies qui n'aurait pas compris son formidable scénar...)
Le dvd NeoPublishing est très beau et à 90 centimes, on aurait tort de se priver !
Première arrivée du parait il célèbre personnage de Monneza (joué par le fameux Thomas Milian), il s'agit d'un polar à l'intrigue improbable et aux péripéties surréalistes porté par une interprétation outrée de Milian et une musique efficace. On retrouve le sympathoche Henry Silva (qui jouait un des vieux de Ghost dog)... J'avoue que je suis resté un chouia hermétique aux charmes désuets de ce polizotteschi mais le bonus qui va avec est assez golri. Il s'agit essentiellement d'une interview du scénariste Dardano Sachetti qui apporte quelques précisions sur la façon de faire de l'époque, quelques regrets et un peu d'amertume sur le fait qu'il se soit fait voler son personnage et quelques anecdotes (Milian raciste, Umberto Lenzi nul pour les comédies qui n'aurait pas compris son formidable scénar...)
Le dvd NeoPublishing est très beau et à 90 centimes, on aurait tort de se priver !
Hey, professor! I recognize these teeth. This is Felipe Ocanya. He knew the jungle as well as I do
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Hey melvin, ça se passe où le dvd à 90 cts? je suis "un peu" intéressé.
Dans la même collection, jette-toi sur "Roma a mano armata" (Brigade spéciale en français), un des meilleurs du genre (dont je raffolle) à mon humble avis.
@ Toma : eh non, moi c'est Yann! (Fredasse aligne rarement plus de 5 caractères d'un coup)
Dans la même collection, jette-toi sur "Roma a mano armata" (Brigade spéciale en français), un des meilleurs du genre (dont je raffolle) à mon humble avis.
@ Toma : eh non, moi c'est Yann! (Fredasse aligne rarement plus de 5 caractères d'un coup)
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Infernal affairs II & III - de Wai-keung Law et Siu Fai Mak.
le premier volet m'avait laissé une très bonne impression, je me délectais donc d'avance de pouvoir m'enchainer le reste de l'histoire.
Le deuxième épisode, qui se trouve être une préquelle au premier, nous raconte l'histoire des deux protagonistes du premier, en insistant également sur les personnages secondaires, épaississant par là l'univers sombre (pas toujours) d'un Hong Kong qui s'apprête à redevenir chinois. Toujours aussi bien foutue l'intrigue joue encore une fois sur des dualités de personnages qui s'affronte plus sur un plan intellectuel que physique.
Le troisième épisode aurait pu être la touche finale d'une trilogie au potentiel monstrueux. Mais non. Si l'intrigue générale, et l'apparition d'un nouveau adversaire très bien amené, sont à la hauteur des deux précédents, on assiste un peu amer au naufrage (relatif c'est vrai) de l'ambiance générale, pourtant si prenante. Certaines bouffonneries et autres digressions inutiles plombent la dernière moitié du film. Et surtout, on voit s'effondrer la mythologie du personnage principal (mort dans le premier, figure christique en devenir) au profit d'une morale plus lisse et moins torturée. D'ailleurs la fin est assez ratée dans ses tentatives de twists scénaristiques. Et des flash backs à n'en plus finir, c'est un peu lourdingue et artificiel !
Niveau réalisation, c'est toujours excellent, même si elle est évidemment marquée par sa géographie et ses habitudes.
Je regrette en revanche le remplacement du génial Tony Leung (1er épisode) par cette serpillère fadasse de Shwan Yue (2e & 3e).
Cette trilogie n'en reste pas moins une excellente saga, à l'image des Pushers ou des Syndicat du crime.
le premier volet m'avait laissé une très bonne impression, je me délectais donc d'avance de pouvoir m'enchainer le reste de l'histoire.
Le deuxième épisode, qui se trouve être une préquelle au premier, nous raconte l'histoire des deux protagonistes du premier, en insistant également sur les personnages secondaires, épaississant par là l'univers sombre (pas toujours) d'un Hong Kong qui s'apprête à redevenir chinois. Toujours aussi bien foutue l'intrigue joue encore une fois sur des dualités de personnages qui s'affronte plus sur un plan intellectuel que physique.
Le troisième épisode aurait pu être la touche finale d'une trilogie au potentiel monstrueux. Mais non. Si l'intrigue générale, et l'apparition d'un nouveau adversaire très bien amené, sont à la hauteur des deux précédents, on assiste un peu amer au naufrage (relatif c'est vrai) de l'ambiance générale, pourtant si prenante. Certaines bouffonneries et autres digressions inutiles plombent la dernière moitié du film. Et surtout, on voit s'effondrer la mythologie du personnage principal (mort dans le premier, figure christique en devenir) au profit d'une morale plus lisse et moins torturée. D'ailleurs la fin est assez ratée dans ses tentatives de twists scénaristiques. Et des flash backs à n'en plus finir, c'est un peu lourdingue et artificiel !
Niveau réalisation, c'est toujours excellent, même si elle est évidemment marquée par sa géographie et ses habitudes.
Je regrette en revanche le remplacement du génial Tony Leung (1er épisode) par cette serpillère fadasse de Shwan Yue (2e & 3e).
Cette trilogie n'en reste pas moins une excellente saga, à l'image des Pushers ou des Syndicat du crime.
Fraction Art Mais Rouge
-[Canal Dissident]-
-[Canal Dissident]-
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
je n'ose pas trop pointer un lien commercial mais là, en tout petit : http://www.priceminister.com/navigation ... publishingNada a écrit :Hey melvin, ça se passe où le dvd à 90 cts? je suis "un peu" intéressé.
Dans la même collection, jette-toi sur "Roma a mano armata" (Brigade spéciale en français), un des meilleurs du genre (dont je raffolle) à mon humble avis.
sinon dans les NOZ (magasins discount) ils ont régulièrement des arrivages de chez neo à 2,45 euros... Je me suis fait Bloody bird, le grand alligator, Rue de la violence, LE zombie venu d'ailleurs, La maison de la terreur, Réveillon sanglant...
Sinon celui que tu me cites m'a été conseillé par l'un des serveurs de l'excellent houlaoups avec lequel il faut que tu discutes si le sujet t'intéresse (il a en prévision la rédaction d'un livre sur le sujet)
Hey, professor! I recognize these teeth. This is Felipe Ocanya. He knew the jungle as well as I do
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Bon alors
-Spidermann III: ouais, bof! Le lieu commun des films de super-héros récents (enfin, post-superman) c'est quand même un peu leur côté obscur, mais là avec Peter Parker ca fait un peu " Aldo Maccione à New York". Bref, pas trop crédible, et du coup la couche de miel de coutume a du mal à passer.
-Indiana Jones IV: ben c'est proche des précédents (avec une énigme quand même très proche des Cités d'Or), donc en fonction de ce que cette madeleine de Proust évoque au spectateur c'est un bon ou un mauvais moment à passer. Pas trop de surprise à la réalisation, Spielberg sait toujours faire du grand spectacle. Avec deux trois références pas trop mal traitées.
-Iron Man: ben surement pas le super héros Marvel le plus connu, c'est pas vraiment un hasard non plus. Côté obscur un peu plus crédible mais bon, c'est pas non plus vraiment un super héros, juste un type qui s'est forgé une super armure.
-Be kind rewind: idée marrante et acteurs pas mauvais mais je me suis endormi, donc j'aurais tendance à penser que quelque chose manque.
-Down in the valley:
(mais bon, je l'ai vu en espagnol, peut être que les dialogues sont monumentaux)
-Spidermann III: ouais, bof! Le lieu commun des films de super-héros récents (enfin, post-superman) c'est quand même un peu leur côté obscur, mais là avec Peter Parker ca fait un peu " Aldo Maccione à New York". Bref, pas trop crédible, et du coup la couche de miel de coutume a du mal à passer.
-Indiana Jones IV: ben c'est proche des précédents (avec une énigme quand même très proche des Cités d'Or), donc en fonction de ce que cette madeleine de Proust évoque au spectateur c'est un bon ou un mauvais moment à passer. Pas trop de surprise à la réalisation, Spielberg sait toujours faire du grand spectacle. Avec deux trois références pas trop mal traitées.
-Iron Man: ben surement pas le super héros Marvel le plus connu, c'est pas vraiment un hasard non plus. Côté obscur un peu plus crédible mais bon, c'est pas non plus vraiment un super héros, juste un type qui s'est forgé une super armure.
-Be kind rewind: idée marrante et acteurs pas mauvais mais je me suis endormi, donc j'aurais tendance à penser que quelque chose manque.
-Down in the valley:
(mais bon, je l'ai vu en espagnol, peut être que les dialogues sont monumentaux)Ils sont parmi nous, nous sommes parmi eux...
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