Mik et Sam... Deux belles personnes à la générosité chaleureuse en diable, deux ami(e)s depuis quelques décennies.
J'avais écrit le message suivant à Mik, sur son FB, quand il n'était plus temps de pouvoir l'appeler au téléphone. Je sais pas quoi dire de plus, la gorge et le clavier noués.
Salut mon Mik, c’est ton Daniel ChériBibi qu’écrit depuis l’Fesse-bouc d’Aziliz. Les mots me manquent, ce qui m’arrive pas souvent t’en conviendras. Jouasse qu’on se soit revu à Guéringrad cet été autour de l’apéro forcément prolongé, pis qu’on se soit causé y’a pas long au téléphon, à s’échanger des vannes réflexives malgré les circonstances crustacées. T’es un cador mon zig. Un gars à la redresse que j’suis foutrement fier d’appeler camarade. Alors te fais pas trop d’bile : étant donné l’état déplorable du monde, j’crois qu’il serait préférable que l’humanité ne soit qu’à quelques mois de l’extinction mais uniquement composée de types dans ton genre, plutôt que vendue à un horizon phagocité par les salopards et les moutons. Quitte à mourir (ce qui arrive à tout le monde), au moins que ce soit de rire !
One love poto.
Et Sam, Samantha Lavergnolle, qui m'avait invitée à Manifesten pas plus tard qu'en janvier, où avec l'ami Jean on avait passé des disques jusqu'à tôt pour les 55 ans de Sam, justement. Je laisse la parole à Jean-Luc Porquet du
Canard enchaîné qu'a trouvé les mots justes.
