Keep MySpace out of Punk !!

[melvin]

burning heads, quand même... actuellement je sais pas si ils sont intéressants, mais c'est vraiment un groupe excellent, adorable et intéressant (même si j'aime pas et que je m'y suis peu intéressé)

[Toma]

Idem

[abFab]

Ah, mais c'est dingue, ça !!!
A croire qu'il est impossible d'avoir un avis sur un groupe sans qu'on vienne te ramener sur le tapis les tempéraments positifs ou négatifs des membres qui le composent !!!

ah nan nan nan

moi dans la même phrase je parle de la crétinerie individuelle en ce qui concerne myfesse, mais bel et bien de talent et d'originalité en ce qui concerne les groupes !

Je te réponds bien sur ton terrain. Tu dis clairement qu'il n'yen a pas un seul d'interessant alors que je me suis fendu d'une quasi apologie des diego dans un autre post, me voilà bien obligé (o-bli-gé) de répondre (sinon cela sonnerait comme un cinglant désaveu) (tu vois)

Ouala.

Donc là clairement, histoire de rester cohérent avec myself (me and I, car je suis un peu dischyzophrène), je ne puis que m'inscrire en faux : il ya des groupes interessants dans le lot (et garonne).

Ouala.

Est-ce que j'ai dit que les membres de ces groupes étaient des crétins ?

toi non.

Moi oui. En ce qui concerne myspace, évidemment... faire ami-ami avec l'extrême-droite j'ai du mal à trouver d'autre terme...

Pas l'impression, y'a même des mecs terriblement sympas dans le lot (Garage Lopez, par exemple).
Ca n'empêche pas de penser que dans cette liste énoncée, y'en a actuellement pas un seul d'intéressant !!

Objection !

(si les lopez ne sont pas un groupe "intéressant"... je me demande quel sens tu donnes au terme "intéressant"... parce qu'un concert des lopez c'est toujours un moment d'anthologie)

[Yanic]

(si les lopez ne sont pas un groupe "intéressant"... je me demande quel sens tu donnes au terme "intéressant"... parce qu'un concert des lopez c'est toujours un moment d'anthologie)

Ca prouve bien qu'on arrivera pas à être d'accord !
J'ai vu 4 fois Garage Lopez depuis 1999 ou 2000, à intervalles à peu près répartis. J'ai adoré les deux premières fois, légèrement moins la troisième, et encore un peu moins la 4ème fois !

Et arrête de parler de Myspace dans chaque phrase, tu te fais du mal !

[bub]

(et encore dans la liste, paria a oublié certains toulousains de ma connaissance qui méritent quelques coups de pieds au luc bien frappés...)

tu m'étonnes c'est vraiment honteux
http://www.ma" onclick="window.open(this.href);return false;ïspaisse.com/dahus

[Punk Online]

c'est sur, si des initiatives tel que Propagande ne se bouge pas pour proposer de bons services (mise à jours des php et autre mysql, répondre aux mails), c'est sur que ceux qui ne savent pas trop par ou commencer pour faire un site cèdent à la facilité.

Mais bon le débat sur propagande a déjà été lancé.

[Tiriwurst]

Mais n'importe quoi...

Merci de cet incommensurable apport au débat.

[XdurennX]

c'est sur que ceux qui ne savent pas trop par ou commencer pour faire un site cèdent à la facilité.

C'est bien mon cas. Alors voila avec mes potes on a un groupe de rock (jusque là tout va bien). On veut pas de myspace... mais je pense sérieusement créer une page web à nous pour balancer les 3-4 morceaux qu'on va enregistrer d'ici peu, une bio, les contacts(...) et tout le bazar.
Je voudrais juste savoir en particulier quelles conneries seraient à éviter quand on se lance là dedans, quelques conseils sont les bienvenus aussi, pis si y a des hébergements pas trop chers à connaitre...
Je devrais peut être créer un nouveau sujet, mais je pense qu'on est pas encore partis de celui-ci (y'a pas de myspace qui tienne, mais y aura bien quelques trucs à savoir pour justement l'éviter et se débrouiller )
merci d'avance!

[Laurent NTZine]

L'essence de la musique est quand même d'être jouée sur scène, sinon ce n'est rien qu'un produit culturel de plus, multipliable à souhait selon la demande du marché.
Plutôt que faire des M------E, faites des concerts

[bub]

Je suis tombé sur ce billet qui retrace bien l'ambiguité des sites myspace et des sites communautaires, web 2.0 et compagnie...
L'attrait du gratuit et de la facilité fait tourner les ficelles du marché à plein rendement pour le plus grand bonheur de tou-te-s : en pleine logique de la servitude volontaire quoi...

le gratuit est-il l'avenir ?
Voici une courte synthèse d'un article de Chris Anderson, l'auteur de la longue traîne.
Il nous présente une typologie des stratégies d'entreprises pour approcher le marché.

1 / Le modèle "Freemium"
Le principe est simple: l'entreprise propose d'une part un modèle de base, gratuit, simple et accessible, et d'autre part une version payante, plus élaborée, davantage personnalisée. Le financement repose sur la règle du 1 %: l'ensemble des utilisateurs qui payent la version élaborée (soit 1 % du total des utilisateurs) financent l'utilisation gratuite des autres utilisateurs (soir 99 % du total). Cela suppose que les coûts engendrés par les 99 % d'utilisateurs soient très faibles, puisqu'ils doivent être financés par seulement 1 %.
Exemple ? Vous connaissez tous des logiciels "gratuits", mais on vous propose de passer à la version "pro" car elle offre plus de fonctionnalités. L'avantage, c'est qu'en ayant diffusé de multiples échantillons de son logiciel de base, l'entreprise va créer elle même sa demande pour la version pro.

2 / Le modèle "publicitaire"
On trouve évidemment dans le journeaux gratuits la référence du modèle: Métro, 20 mn produisent des informations gratuites pour les lecteurs, mais payantes pour les annonceurs. Je vous en avais déjà parlé dans ce billet.
Les bannières de Google, les paiements par clic, l'achat de mots-clés...la publicité trouve sans cesse de nouveaux circuits pour venir jusqu'à nous. Si vous êtes sur les réseaux sociaux, comme Facebook, on s'aperçoit vite qu'elle est de plus en plus présente, personnalisée et efficace.
Rappelez-vous le film Minority Report de Spielberg: Tom Cruise arrive devant un écran situé dans la rue, un faisceau laser scanne son oeil, et aussitôt, des publicités liées à ces centres d'intérêt, son histoire personnelle lui sont données. Bigre !

3 / Le modèle des "subventions croisées"
L'entreprise vous offre (quasi)gratuitement un bien ou un service pour vous inciter à en acheter un autre.
Par exemple, une grande surface peut faire des promos "à prix coûtant" (sur l'essence) car elle espère vous vendre de l'électroménager sur lequel son bénéfice sera élevé. La fixation du prix des différents produits doit tenir compte de dimensions psychologiques. Ici, les gens râlent après le coût de l'essence, les médias entretiennent cet état d'esprit, les consommateurs vont donc être à la recherche des prix les moins chers dans ce domaine, mais ils seront moins regardants sur l'achat d'une cafetière expresso.
On peut citer des exemples très connus qui fonctionnent de plus en plus sur ce modèle économique:
- votre fournisseur de services de téléphonie mobile ne va pas augmenter le prix de votre consommation mensuel (car il sait que c'est la première chose que vous regardez), mais il va augmenter la taxe mensuelle sur tel ou tel service (boite vocale).
- à Noel, vous avez craqué sur une console de jeux ou une imprimante: "j'ai fait une affaire". En réalité, là aussi, l'entreprise va financer un prix bas à l'aide d'autres produits sur lesquels les bénéfices seront importants (ici: les jeux vidéos ou les consommables)

4/ Le modèle du Coût marginal nul
C'est l'exemple de la musique en ligne (et dans une moinde mesure des livres électroniques). Avec les nouvelles technologies, le coût de la reproduction (produire des milliers de copies d'un CD, d'un livre ou d'un logiciel) et de la distribution (amener le produit chez le consommateur) est très faible. Le coût marginal est donc quasi-nul (le coût marginal désigne le coût de la dernière unité produite: autrement dit, reproduire et distribuer 10 000 ou 100 000 exemplaires ne coûte guère plus cher).
Cela va même jusqu'au point que certains préfèrent offrir que de faire payer. En offrant gratuitement, ils font connaître leurs oeuvres et se font connaître; d'autres offrent leur musique en ligne comme un moyen de commercialiser leurs concerts, leurs produits dérivés..

5 / Le modèle "Echange de travail"
Vous pouvez obtenir gratuitement le bien ou le service à condition que vous participiez à un travail en améliorant le service ou en produisant des informations qui pourront être utiles ailleurs. J'échange de la gratuité contre ma force de travail en participant moi-même à la production de richesses.
Des exemples ?
Yahoo Questions et Réponses: ce sont les internautes qui créent de la valeur collective, les services web 2.0 digg: chaque internaute est à la fois producteur d'informations (il rédige un scoop, un billet sur son blog...) et consommateur (les informations font l'objet d'un vote, celles qui sont le plus votées apparaissent en une voir par exemple ici).
On retrouve cela également dans d'autres domaines très différents. A côté de chez moi, une entreprise florissante: vous venez vous-mêmes cueillir vos fruits et légumes, donc vous participez à la production. Certes, ce n'est pas gratuit, mais le prix est plus faible qu'ailleurs (et la qualité nettement meilleure).
Dernier cas, chez les coiffeurs "low cost", vous participez à votre coupe de cheveux en vous lavant vous-même les cheveux, là encore, le prix est plus faible etc... Je suis certain que vous allez me donner d'autres exemples !

Ce qui est interressant c'est l'antagonisme entre paranoia / lucidité, entre boycott dérisoire et réactionnaire / affirmation autonome et anticonformiste...

Tiens je relaye l'info, pour pas faire dans la délation (oh! le méchant!), parce que ce sont des groupes très bien que j'apprécie

SAM 15/03: Caveau J. HIGELIN à VILLEFRANCHE SUR SAONE (69), 20h00.
HORS SERVICE (Punk Rock / Lyon)
FICTION ROMANCE (Punk Rock / Vaucluse)
LES SOUS-PRODUITS (Street Punk / Macon)
Entrée: 5 euro (c'est pas gratuit ?)