Keep MySpace out of Punk !!
Re: Keep MySpace out of Punk !!
yo! voila je joue dans CASKÖBOLL et on voulais faire un my own space.Est-ce quelqu'un sait si c'est craignos ou pas,histoire que ça nous fassent pas chier et que l'on ne puisse pas le supprimer comme les myspace donc voila si quelqu'un sait...merci
Re: Keep MySpace out of Punk !!
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Re: Keep MySpace out of Punk !!
Et is tu n'y connais rien tu peux trouver plein de renseignements ici : http://www.siteduzero.com/" onclick="window.open(this.href);return false;
Re: Keep MySpace out of Punk !!
ok ben merci on a un geek dans le groupe donc en principes ça il peut le faire sans trop de problème sinon en attendant ya ça
http://myownspace.fr/869" onclick="window.open(this.href);return false;
oï!oï!oï!
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Re: Keep MySpace out of Punk !!
Oui ben sur le principe ça relève du même fonctionnement que Myspace, réseau social mes couilles et tout ça...
Fraction Art Mais Rouge
-[Canal Dissident]-
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Re: Keep MySpace out of Punk !!
Ah ah : on avait pas fait l'analyse jusqu'au bout : Myspace devient has-been
(c'est le danger inhérent à la technologie)
Si maillespaisse ne fait plus vendre son groupe, c'est quoi la prochaine étape ?
(c'est le danger inhérent à la technologie)
mais alors... à l'assaut de Facebook, Toulouse en têtehttp://www.ecrans.fr/Top-5-des-raisons-de-rester-ou-d,7110.html a écrit : Le top 5 des raisons de rester sur Myspace
Détrôné par Facebook, le réseau social Myspace est en perte de vitesse. Un nostalgique de mauvaise foi prend sa défense.
La semaine dernière, le New York Times publiait un article intitulé Losing Popularity Contest, MySpace Tries a Makeover (en VF : Battu au concours de popularité, Myspace tente un relooking). On y apprend, sans surprise, que le réseau social de News Corporation (contrôlé par Rupert Murdoch), encore premier aux USA (mais plus pour longtemps) commence à perdre un peu de tout : de l’argent, des visiteurs, de la crédibilité, etc. Tandis que Facebook totalise plus de 200 millions de membres dans le monde, Myspace en compte près de 130 millions.
Myspace est donc sur le déclin en ces temps de crise où tout le monde est sur Facebook et que Twitter est clairement the next big thing, comme dirait Oprah Winfrey. Non sans mauvaise foi, jouons donc un peu la carte du contre-courant qui aime tout contredire (« mais si, je t’assure, Le Miel et les abeilles posait les bases des teenage-drama actuels, sans le Miel, pas de Gossip Girl, tu vois »). Voici donc le top 5 des raisons de rester (ou d’arriver) sur Myspace.
5) La musique
Alors oui, c’est sûr, pour écouter de la musique, Myspace est devenu quasiment aussi has-been qu’un tee-shirt « I love NY ». Deezer est plus simple pour picorer du son ou écouter un album en intégralité, et Spotify explose le réseau social en terme de qualité de son. Mais n’oublions pas pour autant que Myspace reste encore et toujours l’un des endroits pratiquement inévitable pour aller dénicher des jeunes groupes non-signés, donc indisponibles sur les plateformes légales. C’est aussi un endroit où les fans transis entretiennent la flamme de leurs idoles disparues, comme le mythique Myspace de Jeanne Calment (Screamo / Gothique / Happy Hardcore) où l’on peut réécouter à loisir sa culte Farandole.
4) La demande d’amitié avec l’explication du pourquoi
Sur Myspace, on n’a pas des followers, comme sur Twitter, mais bien des amis, comme sur Facebook. Sur le trombinoscope n°1 au monde, la plupart des utilisateurs lambda (pas toi, Loïc LeMeur !) n’ont dans leurs « amis » principalement que de « vrais » amis (comprendre des potes, mais aussi de vagues connaissances). Sur Myspace, cette notion d’intime s’estompe grandement. Principalement à cause (ou grâce) aux groupes de musique débutants qui piochent dans les « amis » de formations plus confirmées. Ainsi, s’aventurer à devenir ami de Snoop Dogg peut sans surprise vous coûter un bon lot de requêtes d’apprentis rappeurs pubères du Dakota. C’est aussi ça, Myspace. Dans un autre genre, certains jouent la carte du participatif, de l’échange, et du feedback (« écoute mon album, t’en penses quoi, dis-moi tout ») pour vous attirer dans leur réseau. On peut ne pas vouloir s’y risquer.
3) Pas, ou si peu, d’addiction
Bon, ok, si vous entretenez une correspondance tendre et moite par commentaires interposés avec une conquête potentielle via Myspace, l’idée de déconnecter ne serait-ce qu’une journée pourrait vous déplaire. Mais pour un utilisateur « normal » de Myspace (contrairement aux junkies de la news qui zonent sur Twitter) rien de plus simple de déconnecter 24 heures, voire une semaine, pour ne pas dire 6 mois. A bien y réfléchir, peut-être que cette dernière phrase explique bien les soucis actuels de Myspace.
2) Gif en avatar
Ah, ils sont drôles, les néo-cool du web 2.0., avec leur avatar fixe et rachitique sur Twitter, Facebook et compagnie. Myspace, contrairement à ces deux réseaux, est une terre d’asile pour les gifs du monde entier, ici recyclés en photo de profil ad nauseam, les meilleurs comme les pires. Le mauvais goût est une notion qui n’a pas sa place sur Myspace, car c’est TON espace, tu en fais ce que tu veux, et personne n’ira se moquer de toi si ton avatar finit sur Ecrans.fr. La sélection suivante, non dénué de bonnes choses mais pouvant faire mal aux yeux, est constituée d’avatars Myspace tout frais, cueillis du matin.
1) « Merci pour l’ajout »
Chaque réseau social a son vocable, sa catchphrase, son gimmick. Sur Twitter, personne ou presque ne se risquerait à balancer un « @ecrans : merci de me follower ! ;-) » sous peine de passer pour un fieffé ringard voire un lèche-botte de première. Sur Myspace, par contre, il est monnaie courante de saluer son nouvel ami par un distingué « thanks for the add », traduisible, adaptable, et déformable à loisir. Ce merci là, quand il est sincère, réchauffe le cœur et illumine la section commentaire de votre Myspace comme un phare breton dans la nuit. Essayez de ressentir la même chose avec un vulgaire « retweet », et on en reparlera. Ci-dessous, de beaux exemples de gratitude virtuelle qui emplirent de joie votre serviteur en des temps reculés.
Las, le marketing a encore de long jours devant lui...http://www.ladepeche.fr/article/2009/05/06/602139-Un-jeune-Toulousain-defie-Facebook.html a écrit : Un jeune Toulousain défie Facebook
Julien Berthomieu, étudiant à l'ISEG, a créé le blog facedebouc.com. Des avocats du site communautaire lui demandent de renoncer.
« Cher lecteur, tu es un bouc, tu le sais, et tu ne fais certainement pas la confusion entre facedebouc et la géante communauté facebook… Pourtant un courrier d'avocats représentant facebook daté du 31 mars 2009 me demande « de renoncer à l'enregistrement et à l'usage des marques et noms de domaine facedebouc.com et facedebouc.fr »… Sur son blog, Julien Berthomieu évoque ce différend qui l'oppose au célèbre réseau communautaire du net. Ce jeune Toulousain de 22 ans, étudiant à l'école de commerce l'ISEG, s'est attiré leurs foudres en jouant sur les mots. Le cabinet parisien Law Offices Kopacz, spécialisé dans la propriété intellectuelle s'est chargé de l'affaire. Faute d'avoir réussi hier à joindre les conseils de Facebook, on suppose que le blog du jeune Toulousain est perçu comme un plagiat.
Il fabrique des t-shirts
« Facedebouc n'est pas un réseau social, et ne permet pas l'inscription de membres, de réalisation de fiches profils ou encore la mise en contact entre membres (vu qu'il n'y en a pas) » se défend Julien qui voit finalement d'un bon œil le buzz (le « bouc-an ») que provoque cette polémique. Sur son blog, l'étudiant demande en effet le soutien des visiteurs de son blog qui peuvent s'exprimer dans un « guest-bouc » à l'esprit potache et rivaliser de bons mots intégrant le mot « bouc ». Ainsi , l'internaute « Bouc et de fleur », qui écrit le 8 avril : « je défends à 100 % la cause des boucs et autres bouquetins !! Défendons notre vert pâturage contre le troupeau de moutons d'à côté qui pourrait nous juger trop gênants !!! (la liberté d'expression n'est pas que pour les gros troupeaux) ». Tout cela ne semble pas bien méchant.
Mais au fait, pourquoi le bouc ? « C'est un animal qui a une identité et ne se fond pas dans la masse tel un mouton ou une brebis galeuse » explique le blogger. Julien Berthomieu, qui veut faire carrière dans le marketing via internet, a aussi créé un site d'échanges de cours, wechange.fr où l'on peut déposer une annonce, envoyer des fichiers, écrire un article qui sera commenté et enrichi. Quant au blog facedebouc.com, il reçoit déjà 150 à 200 visites par jour. On y trouve une « bouctique » où l'on peut commander des t-shirts imprimés du message « marre d'être un mouton ? » dans le dos. Ils sont fabriqués à Toulouse, précise Julien qui décidément, a la bosse du commerce.
Si maillespaisse ne fait plus vendre son groupe, c'est quoi la prochaine étape ?
Re: Keep MySpace out of Punk !!
Vous pensez pas qu'il y a une différence entre les groupes qui ont tout simplement un myspace pour mettre leurs morceaux, et ceux qui l'écrivent sur tous leurs flyers, de partout, qui inondent les boîtes mails de pubs, qui participent aux "myspace shows" et jouent devant une énorme banderole myspace, etc... Enfin bref, entre ceux qui l'utilisent à défaut d'un autre outil, et ceux qui en usent et abusent de manière envahissante pour tout le monde? Juste une interrogation comme ça...
Re: Keep MySpace out of Punk !!
Ben le truc c'est surtout la contradiction en l'acte et le discours.monopoli a écrit :Enfin bref, entre ceux qui l'utilisent à défaut d'un autre outil, et ceux qui en usent et abusent de manière envahissante pour tout le monde? Juste une interrogation comme ça...
"entre ceux qui l'utilisent à défaut d'un autre outil".
Quel outil ?
Une page web moche avec quatre mp3 ?
... ou le réseau social qui permet de cyber-draguer la gueuse et de se faire plein de "friends" ?

On sait bien que myspace ça fait l'effet d'une énorme confiserie, comme quand les allemands de l'est ont passé le mur ; ça clignote, ça aguiche, tout est à portée de main, c'est que du bonheur, tout le monde est souriant, ça tanxe, ça laule, tu peux avoir des bombasses suédoises et des groupes cultes dans tes amis.. bref, myspace c'est que du bonheur.

Et la tentation du bonheur, ben ça rend hypocrite quoi.. après on invente le "à défaut d'un autre outil", en feignant de ne pas comprendre que l'outil qui sert au groupe c'est pas myspace(tm), c'est internet. Tu n'as pas besoin d'un outil "être" sur internet, tu as besoin d'un hébergement, d'un peu de curiosité, et d'une bonne louche d'imagination pour faire un truc pas trop moche. DIY, quoi.
Myspace c'est l'extension du spectacle qui se nourrit de notre paresse intellectuelle.
(a)social
Mastodon : https://mstdn.io/@abFab
"Messieurs, j'ai refait tous les calculs. Ils confirment l'opinion des spécialistes : notre idée est irréalisable. Il ne nous reste qu'une chose à faire : la réaliser." (Latécoère)
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"Messieurs, j'ai refait tous les calculs. Ils confirment l'opinion des spécialistes : notre idée est irréalisable. Il ne nous reste qu'une chose à faire : la réaliser." (Latécoère)
Re: Keep MySpace out of Punk !!
J'comprends ton point de vue. En fait ce que j'ai oublié de dire, c'est que moi ce qui m'emmerde surtout avec Myspace, c'est son omniprésence, sur les flyers, les disques, les affiches, ça m'emmerde de bouffer du "va voir sur myspace" au kilomètre, des flyers avec quatre groupes et quatre adresses Myspace qui remplacent les descriptions...
Sinon, je me demandais un autre truc, est-ce que selon vous le fait d'avoir un compte sur Myspace invalide la démarche ou les propos de tel ou tel groupe? Vous allez arrêter d'apprécier un super groupe s'ils ont un Myspace?
Je cherche pas à me faire l'avocat du diable hein, juste quelques questions...
Sinon, je me demandais un autre truc, est-ce que selon vous le fait d'avoir un compte sur Myspace invalide la démarche ou les propos de tel ou tel groupe? Vous allez arrêter d'apprécier un super groupe s'ils ont un Myspace?
Je cherche pas à me faire l'avocat du diable hein, juste quelques questions...
Re: Keep MySpace out of Punk !!
Ah ben pour ça on est carrément d'accord.monopoli a écrit :J'comprends ton point de vue. En fait ce que j'ai oublié de dire, c'est que moi ce qui m'emmerde surtout avec Myspace, c'est son omniprésence, sur les flyers, les disques, les affiches, ça m'emmerde de bouffer du "va voir sur myspace" au kilomètre, des flyers avec quatre groupes et quatre adresses Myspace qui remplacent les descriptions...
En ce qui me concerne la réponse est non. Juste je modère mon appréciation quoiSinon, je me demandais un autre truc, est-ce que selon vous le fait d'avoir un compte sur Myspace invalide la démarche ou les propos de tel ou tel groupe? Vous allez arrêter d'apprécier un super groupe s'ils ont un Myspace?
Je cherche pas à me faire l'avocat du diable hein, juste quelques questions...


Si je devais me passer d'écouter Oi Polloi parce qu'ils écrivent "Total resistance to the fucking system, you can join us on myspace at myspace.com/blablabla", je crois que j'écouterais plus grand chose.

C'est juste que ça permet de remettre en perspective certains discours quoi (sur le dernier Usual suspect -les belges- on a un magnifique morceaux introductif qui s'appelle "against all adds", et cinq centimètre plus bas, sur la quatrième de couv, il ya "blablalasuspects@yahoo.com" suivi de "myspace.com/blablasuspectspunx"



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