
En tous cas MERCI d'avoir fait circuler cette page,du coup j'ai fait un site bon ça m'a couter un peu de sous ,mais l'intègrité n'a pas de prix

Je commence à comprendre pourquoi je ne me suis fais aucun ami lorsque, jadis, j'avais un myspace...pour que les utilisateurs de plateformes révèlent spontanément, et correctement, leurs centres d’intérêt, puisque c’est de cela que la qualité des interactions qu’ils pourront réaliser dépend directement.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Lofofora" onclick="window.open(this.href);return false;L'engagement du groupe est remis en cause par une partie de son public suite à sa prise de position pour la loi DADVSI[31] et pour sa présence à des fin d'auto-promotion sur le site myspace appartenant à la transnationale des médias News Corporation de Rupert Murdoch en toute connaissance de cause [32], rejete le bien fondé du document Keep Myspace out of Punk au prétexte qu'il s'agirait d'une « théorie » du « groupe mort » que serait - selon Reuno Wangermez - les Bérurier Noir. 33
« (...)nous avons une page myspace. Page que je visite plus ou moins régulièrement avec mon Power Macintosh alimenté par l'énergie nucléaire de EDF que je paye par chèque BNP avec de l'argent de la Banque de France, le même qui sert a remplir le réservoir de ma Renault Twingo en sans plomb 95, mais pas chez Total, là je boycott. Comme quoi on a chacun ses limites dans la résistance comme dans la collaboration. »
— Reuno (sur le forum officiel du groupe)
« Je suis d'accord avec la théorie des Berus mais avouez que c'est plus facile pour un groupe mort d'avoir ce genre de positions.» affirme Reuno sur le forum du site officiel de Lofofora.
Quel loser! Nous on a une page sur lautre.net, que notre assistante update avec son PC alimenté par de l'électricité que nous payons par virement depuis le compte aux iles Caïmans avec de l'argent de nos stocks options, le même qui sert à faire le plein de l'hélico en kérosène, de préférence chez Total parce qu'ils lavent le pare-brise au passage et qu''on y trouve le dernier Lofo.« (...)nous avons une page myspace. Page que je visite plus ou moins régulièrement avec mon Power Macintosh alimenté par l'énergie nucléaire de EDF que je paye par chèque BNP avec de l'argent de la Banque de France, le même qui sert a remplir le réservoir de ma Renault Twingo en sans plomb 95, mais pas chez Total, là je boycott. Comme quoi on a chacun ses limites dans la résistance comme dans la collaboration. »
— Reuno (sur le forum officiel du groupe)
Ben si c'est si facile, pourquoi il la prend pas lui cette position?« Je suis d'accord avec la théorie des Berus mais avouez que c'est plus facile pour un groupe mort d'avoir ce genre de positions.» affirme Reuno sur le forum du site officiel de Lofofora.
Il était une fois une jeune anglaise (cool c'est toujours chouette de se moquer de ces saligauds d'anglais, ils nous ont quand même brulés Jeanne d'Arc mince !!) de 17 ans nommée Rachael Bell (celle sur la photo, elle respire l'intelligence il y a pas à dire) qui avait décidé d'organiser une fête chez elle pendant que ses parents étaient parti, bon déjà rien que ça c'est mal, bouh, mais ça reste du guignolisme gentil, non, là ou les choses commencent à se corser c'est que suite à une lueur particulièrement brillante d'intelligence la vilaine décide d'inviter tout l'internet du monde à sa méga teuf par le biais de son Myspace (le Myspace, comment expliquer ça sans être vulgaire, hum, vous prenez un skyblog moisi auquel vous ajoutez un soupçon de Star Academy avec la possibilité de faire péter sa zik, vous mélangez bien en ajoutant deux trois pincées de mauvais goût, et, oh, miracle, vous avez un joli Myspace). Le message disait en gros "Mega teuf on va mettre la zone, wouhou" enfin je crois (la VO c'est plutôt "Let's all trash the average, family-sized house disco party" mais on s'en fiche) le tout bien sur avec l'adresse de la baraque à Houghton-le-Spring, mouhahaha, quelle naive !!
Forcément, l'internet c'est bougrement grand et la brave demoiselle pensait sans doute parler uniquement à ses potes en balancant une annonce pareille (enfin c'est ce quelle croyait, vous verrez pourquoi dans la suite ^^), résultat plus de 200 personnes sont venu squatter chez elle, certaines venant même de Londres, assez loin de son bled paumé. Or, que font 200 personnes, pendant 7h, dans un tout petit espace, avec de l'alcool et de la drogue qui rend bête à disposition ?? Ceux qui ont répondu "DE LA MERDE" ont bien raison (mais ils sont quand même un peu vulgaires... hop pratique je balance des gros mots et j'accuse les lecteurs, mouhahahaha). Oh oui ils ont fait du gros caca boudin, même que la maman de la vilaine Rachelle a dit "Notre maison a été violée !" Rhôô Voyons madame, vous y allez fort tout de même, une maison n'a pas de hum, de tralala, *tousse*, enfin de truc là, vous voyez, le machin dans lequel on met le truc ? Non ? Laissez tomber.
L'étendue des carnages est quand même assez rigoulo (enfin quand c'est pas sa baraque hein) avec au programme: du vomi plein les habits (toujours plus drôle de gerber dans un placard), des préservatifs plein les chambres (je vous rappelle quand même que la maison a été violée !! VI-AAAAAUUUU-Léééééé !!! Au moins elle aura pas le sida voyons le bon côté des choses), de la thune volée (faut bien payer l'essence pour le retour sur Londres) et bien sur des meubles cassés. Tout ça ca a quand même un peu choqué la pauvre guignolote qui dira pour sa défense "Ouin je voulais inviter que 40 de mes amis que je kiffe dans leur corps, pas tous ces vils étrangers, tout ça c'est la faute d'un hacker qui a changé le thème de la soirée à l'insue de mon plein gré", pas mal le coup du hacker, il a bon dos lui, moi je dis que la demoiselle voulait faire sa maline et que maintenant sa maison sent le vomi et que c'est bien fait, par contre pour les parents c'est moins cool du coup je propose de mettre toutes les saletés dans sa chambre voir carrément que les parents vomissent dedans et lui interdisent de laver, ça ça serait bien, d'ailleurs s'il y a besoin d'un coup de main ?
La ou tout ça est aussi rigolo c'est que les policiers se sont déplacés pour voir ce qu'il se passait (150 personnes qui vomissent dans la rue ça fait tâche ! Oui elle est facile celle là) mais qu'ils sont repartis 5mn après parce qu'une jeune fille s'est faite passer pour la guignolote en disant que tout allait pour le mieux !! Bon ils sont pas très observateurs les policiers en Angleterre quand même. Selon des témoignages à l'intérieur de la baraque ça a été la destruction complète, certain gravant leur noms sur les murs, d'autres faisant des concours de vomi, ça devait être terrible
Myspace comme c'est gratuit on s'en moquehttp://www.ecrans.fr/Alex-Turk-Concernant-Facebook-je,6448.html a écrit : Quels sont les domaines où l’absence de contrôle et de protection des données personnelles ont les conséquences les plus dommageables ?
Depuis quelques semaines, nous sommes submergés par les affaires liées aux problèmes de recrutement. Les recruteurs, et comment pourrait-on leur en vouloir à part sur un plan strictement éthique, utilisent de manière systématique les moteurs de recherche et les réseaux sociaux pour pister leurs candidats à un emploi. Le CV devient quelque chose de complètement accessoire. Or, ce que l’on a fait à 20 ans ne doit pas vous gêner dix ans plus tard lorsque vous cherchez un boulot, alors même que vous avez changé, évolué. C’est ce que j’appelle la menace de la dilatation du présent numérique, une véritable bombe à retardement dont on commence à peine à prendre conscience. A la CNIL où nous recrutons beaucoup en ce moment, nous avons pris un engagement : ne « facebooker » personne. Même si c’est parfois très tentant !
[...]
Ce phénomène n’est-il pas accentué par la gratuité quasi-généralisée de tous ces sites qui n’ont d’autre moyen, pour rentabiliser leurs activités, que d’exploiter de manière systématique et parfois abusive ces données personnelles ?
C’est très révélateur, on parle toujours d’utilisateurs sur ces sites, ou de membres, jamais de clients. Et à la différence du droit commercial classique, les choses ne sont pas claires du tout alors que l’on est dans un échange quasi-contractuel. Vous me donnez vos données personnelles, vous acceptez que je puisse les commercialiser et en échange vous ne me devez rien pour accéder au service ! Les acteurs de l’Internet jouent aujourd’hui sur cette ambigüité et c’est malsain. Il faut d’urgence inventer les nouveaux concepts juridiques qui permettront de clarifier cette situation, de définir un droit de l’internaute. Mais je le répète : ce que je vois aujourd’hui ne me pousse pas du tout à l’optimisme.
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