
que lisez-vous en ce moment?????
Ces 2 derniers jours, au taf, j'ai lu (deux fois) "la solitude du courreur de fond" qui est une perle. "exercice de style" de queneau, qui porte bien son nom, et m'a fait rire lorsqu'il est bon et ennuyé lorc'qu'il est vain. Un reccueuil de poèmes de claude roy, dont les thèmes récurants sont parfois rébarbatif (la mer, de manière métaphorique, voire allégorique, ou simplement décrite; ou la nature) mais qui ne parle comme personne du sommeil de l'être aimé (à ce titre, "dormante" me fait toujours autant péter les plombs 10 ans après).
Un reccueil de popèmes érotiques de Verlaine, qui m'emmerde décidement à côté du grand Beaudelaire (la simple évocation de son nom me donne des frissons).
Et un peu de Eluard, pour finir, qui n'est pas déplaisant à toutes petites doses.
C'est bien, pion, comme taf.
Un reccueil de popèmes érotiques de Verlaine, qui m'emmerde décidement à côté du grand Beaudelaire (la simple évocation de son nom me donne des frissons).
Et un peu de Eluard, pour finir, qui n'est pas déplaisant à toutes petites doses.
C'est bien, pion, comme taf.
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http://aaarg-je-meurs.blogspot.com/
Il nous faut un plus gros bateau !
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Il nous faut un plus gros bateau !
J'ai fini Le cri du peuple de Jean Vautrin, et c'est super bien tiens. Bien qu'un peu triste à la fin, une fin d'ailleurs pas si bien mais bon amour quand tu nous tiens.
"Nous considérons les fins inséparables des moyens, parce que les méthodes de lutte laissent déjà entrevoir la vie pour laquelle nous nous battons".
Au point d'en perdre ton orthographe?STARSKY a écrit :à côté du grand Beaudelaire (la simple évocation de son nom me donne des frissons).

(Baudelaire)
(et recueil, au fait)
(et récurrent)
C'est bon, j'ai fini.
"I came to America because I heard the streets were paved with gold. When I got here, I found out three things: first, the streets weren't paved with gold; second, they weren't paved at all; and third, I was expected to pave them."
Moi, je lis un livre que l'on m'a offert : La guerre d'Espagne, d'Antony Beevor. C'est la vision très "centriste" de la guerre. Par contre, il en profite pour démonter de vieux mythes comme Malraux "sauveur" de la république. Tu parles, il s'en est mis surtout plein les poches et s'est accroché l'auréole au dessus de la tête en même temps.
Un bouquin qui permet de passer le temps aux assedics.
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Organic farmer
Ben non, je suis assez "inégal" de ce côté...Anomalia a écrit :Au point d'en perdre ton orthographe?STARSKY a écrit :à côté du grand Beaudelaire (la simple évocation de son nom me donne des frissons).![]()
(Baudelaire)
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(et récurrent)
C'est bon, j'ai fini.
Allez: "le grand art de l'homme fin est de ne point le paraitre"
montaigne
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Le genre de phrase qui rassure.STARSKY a écrit :Allez: "le grand art de l'homme fin est de ne point le paraitre"
montaigne

"I came to America because I heard the streets were paved with gold. When I got here, I found out three things: first, the streets weren't paved with gold; second, they weren't paved at all; and third, I was expected to pave them."
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- fait partie du décor
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