Pour faire rapide, au début c’était évident que notre fille n’irait pas ! eh ! eh !
Bon, maintenant qu’elle a l’âge d’y aller; il nous faut maintenant prendre une décision cohérente qui nous l’espérons sera la meilleure pour elle.
Je pense vraiment (je suis peut-être naïf..) que l’on peut encore pour ces petites classes UTILISER (CONTROLER) l’école et pas l’inverse …. Il n’y a pas encore trop de logique violente : compétition, valorisation de « genre » filles /garçons, direction de pensée…
Notre foyer me semble encore un « rempart » aux mécanismes de conditionnement, nous vivons à la campagne, nous sommes éloigné/es de nos familles, nous n’avons pas la télévision, et nous vivons centrer autour du noyau familial (exemple et référence).
J’utiliserai donc l’école pour que notre fille puisse rencontrer et s’amuser avec des enfants de son âge, jouer avec du matériel que nous n’avons pas à la maison ; avoir son univers à elle, appréhender la collectivité, débuter l’apprentissage de la lecture et de l’écriture…
C’est aussi pour nous la possibilité d’avoir du temps (il faut le reconnaître !) et la découverte d’une institution que nous allons devoir défier (cantine et végétarisme ; vaccins…). Eh !
Donc a priori, pour les petites classes, çà semble ok, par contre plus tard, nous nous renseignerons sur les écoles alternatives et libertaires.
Car c’est évident que pour moi l’école n’est ni plus ni moins qu’un lieu de formatage et de façonnage si ce n’est des esprits en tout cas qui dicte le comportement et le mode de penser que le pouvoir (au sens large pas uniquement politique, aussi économique…) souhaite.
Heureusement il y a des exceptions, écouter / lire « critical pedagoggy » a comp. Of teachers in punk bands (six weeks records). Et aussi sur limoges….
