que lisez-vous en ce moment ? - le retour -
Paris d'Emile Zola : de l'ouvrier qui fait sauter un hôtel particulier au bourgeois en quête de sensations fortes, en passant par l'innocent prêtre qui a perdu la foi, Zola dresse un tableau de la société parisienne au XIXe siècle en mettant l'accent sur la flamme anarchiste qui anime nombre d'hommes, aussi bien dans les taudis que dans les salons mondains !
Ce livre fait partie de la série des Trois villes (il écrit aussi sur Lourdes et Rome).
C'est absolument génial ! :-)
Ce livre fait partie de la série des Trois villes (il écrit aussi sur Lourdes et Rome).
C'est absolument génial ! :-)
"I came to America because I heard the streets were paved with gold. When I got here, I found out three things: first, the streets weren't paved with gold; second, they weren't paved at all; and third, I was expected to pave them."
Bon j'ai fini plein de truc récemment:
-2 bouquins d'Hunter S Thompson "Hell's Angels" et "Rhum Express"
-le dernier tome de la saga "20th century boy" de Naoki Urasawa
-"Kaboul Disco" de Nicolas Wild où les aventures d'un dessinateur en Afghanistan
-Quelques Donjon de Sfar et Trondheim
Et là je vais essayer de choper le dernier Larcenet
-2 bouquins d'Hunter S Thompson "Hell's Angels" et "Rhum Express"
-le dernier tome de la saga "20th century boy" de Naoki Urasawa
-"Kaboul Disco" de Nicolas Wild où les aventures d'un dessinateur en Afghanistan
-Quelques Donjon de Sfar et Trondheim
Et là je vais essayer de choper le dernier Larcenet
- Clémence Poï Poï Poï
- zonard-e

- Messages : 237
- Enregistré le : 18 sept. 2007 14:43
Vivement que je trouve le second, que je n'ai encore vu nulle part dans mon coinD.A.N a écrit :Bon j'ai fini plein de truc récemment:
-2 bouquins d'Hunter S Thompson "Hell's Angels" et "Rhum Express"
- Clémence Poï Poï Poï
- zonard-e

- Messages : 237
- Enregistré le : 18 sept. 2007 14:43
Roald Dahl, Matilda c'est super chouete à lire. Et facile.
Matilda est une petite fille très intelligente, qui étant négligée par ses parents bêtes et méchants, a appris à lire toute seule dès l’âge de 3 ans. Ceci dérange très fort ses parents et elle est mise en pension. Celle-ci est gérée par une directrice absolument odieuse et dans cette institution, les enfants sont complètement détestés, sauf par une seule personne heureusement, une très gentille institutrice qui prendra Matilda sous son aile. Les situations du livre sont hilarantes, les personnages que l’on y rencontre sont féroces et l’humour grinçant de l’auteur nous entraîne dans une course folle grâce aux dons exceptionnels de Matilda. Roald Dahl nous décrit un monde où - pour une fois- la gentillesse, l’humour, l’intelligence et la justice triomphent de la bêtise humaine.
En ce moment je refeuillette Tomkiewicz, et ça me redonne envie de le relire.
« Si quelqu'un avait eu l'idée de me demander pourquoi je travaille avec les adolescents, j'aurais pu répondre : « C'est parce que je les aime ». Il n'était pas question d'avouer aux autres ou à moi même une vérité que j'ai mis des années à oser regarder en face : je travaille avec les adolescents parce qu'on m'a volé mon adolescence... L'expression peut paraître abusive. On a toujours une adolescence, bien sûr ; disons que la mienne, entre les murs rouges du ghetto de Varsovie et les barbelés de Bergen-Belsen, n'a pas été tout à fait normale » (L'adolescence volée, 1999).
Matilda est une petite fille très intelligente, qui étant négligée par ses parents bêtes et méchants, a appris à lire toute seule dès l’âge de 3 ans. Ceci dérange très fort ses parents et elle est mise en pension. Celle-ci est gérée par une directrice absolument odieuse et dans cette institution, les enfants sont complètement détestés, sauf par une seule personne heureusement, une très gentille institutrice qui prendra Matilda sous son aile. Les situations du livre sont hilarantes, les personnages que l’on y rencontre sont féroces et l’humour grinçant de l’auteur nous entraîne dans une course folle grâce aux dons exceptionnels de Matilda. Roald Dahl nous décrit un monde où - pour une fois- la gentillesse, l’humour, l’intelligence et la justice triomphent de la bêtise humaine.
En ce moment je refeuillette Tomkiewicz, et ça me redonne envie de le relire.
« Si quelqu'un avait eu l'idée de me demander pourquoi je travaille avec les adolescents, j'aurais pu répondre : « C'est parce que je les aime ». Il n'était pas question d'avouer aux autres ou à moi même une vérité que j'ai mis des années à oser regarder en face : je travaille avec les adolescents parce qu'on m'a volé mon adolescence... L'expression peut paraître abusive. On a toujours une adolescence, bien sûr ; disons que la mienne, entre les murs rouges du ghetto de Varsovie et les barbelés de Bergen-Belsen, n'a pas été tout à fait normale » (L'adolescence volée, 1999).
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