Et tu n'aurais pas ceux de ASTRO ZOMBIES (fr) par hasard?
Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
http://www.kawaiirecords.com/
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CELUI QUI REFUSE D'ETRE UN MAITRE NE SERA JAMAIS TOTALEMENT UN ESCLAVE
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
heu mon post etait tjs pas comprehensible?  
 
ASTRO ZOMBIES, moi je les ai! (ou sinon c'est le film en FR) je te dis ca ce soir si c'est pas reglé avant!
			
									
									
						ASTRO ZOMBIES, moi je les ai! (ou sinon c'est le film en FR) je te dis ca ce soir si c'est pas reglé avant!
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
ok!!dr krank a écrit :heu mon post etait tjs pas comprehensible?![]()
ASTRO ZOMBIES, moi je les ai! (ou sinon c'est le film en FR) je te dis ca ce soir si c'est pas reglé avant!
J'ai recup une version, mais c'est la vo et sans sous-titres, alors...
Sinon vu MONSTERS hier, c'est pas du tout en fait. Je m'attendais à beaucoup d'action entre troupe US et extra-terrestres, mais finalement rien de tout ça. On est plus dans la réflexion et les sentiments... Tout le contraire de CLOVERFIELD que j'ai maté ensuite!
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
fausse alerte, je l'ai aussi en vo!  
  confondu avec dr goldfoot and the bikini machine ou j'avais pecho les srt recemment
			
									
									
						Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
I SPIT ON YOUR GRAVE de 2010, encore un remake pas franchement utile mais pas aussi ripou que ce que je pensais. pas aussi trash et voyeur que le recent I WILL NEVER DIE ALONE (qui reste gentil comparé a I PISS ON YOUR GRAVE ou SCRAPBOOK), un pitch changé avec l'apparition d'un flic pere de famille bien pervers, des incoherences a foison et ca devient meme carrement fun dans la partie revenge avec des meurtres aux modus operandi tres, tres recherchés!!
TUNNEL RATS de UWE BOLL, loin du carnage qu'on est en droit d'attendre a la vue du sujet (americains et vietnamiens qui se bastonnent ds des tunnels minuscules), au final on a un film de guerre ds un environnement a la DESCENT plutot sympa, qq scenes gore, bien filmé, et loin de l'irresponsabilité et de l'outrance habituelle du sympatoche BOLL!
rien de comparable avec RAMPAGE! ptain exit les ELEPHANT, les 71 fragments d'une chronologie du hasard, les OUT OF THE BLUE (sur la premiere tuerie neo zelandaise, de loin le plus captivant des trois), UWE BOLL met les paras dans le plat! has been les anti-heros super heros a la scott pilgrim, defendor et kick ass, la on a un mec fan de paintball qui prend un jour de congé pour se taper un massacre de masse a tres haute echelle avec une armure qui le rend invulnérable aux balles des flics! ses motivations sont simples et a n'en pas douter, c'est un avater nietzscheen de BOLL (les deux sont des gros boxeur, les deux cassent la gueule a leurs contradicteurs!): il y a trop de monde sur terre et tout le monde ne merite pas de vivre. alors le mec qui sert un café avec pas assez de creme a notre heros, ou la serveuse qui lui renverse sa bouffe, forcement pour eux c'est fini!
du tres bon en roue libre, ce qui effraie quand on sait que son prochain film sera... AUSCHWITZ
 

			
									
									
						TUNNEL RATS de UWE BOLL, loin du carnage qu'on est en droit d'attendre a la vue du sujet (americains et vietnamiens qui se bastonnent ds des tunnels minuscules), au final on a un film de guerre ds un environnement a la DESCENT plutot sympa, qq scenes gore, bien filmé, et loin de l'irresponsabilité et de l'outrance habituelle du sympatoche BOLL!
rien de comparable avec RAMPAGE! ptain exit les ELEPHANT, les 71 fragments d'une chronologie du hasard, les OUT OF THE BLUE (sur la premiere tuerie neo zelandaise, de loin le plus captivant des trois), UWE BOLL met les paras dans le plat! has been les anti-heros super heros a la scott pilgrim, defendor et kick ass, la on a un mec fan de paintball qui prend un jour de congé pour se taper un massacre de masse a tres haute echelle avec une armure qui le rend invulnérable aux balles des flics! ses motivations sont simples et a n'en pas douter, c'est un avater nietzscheen de BOLL (les deux sont des gros boxeur, les deux cassent la gueule a leurs contradicteurs!): il y a trop de monde sur terre et tout le monde ne merite pas de vivre. alors le mec qui sert un café avec pas assez de creme a notre heros, ou la serveuse qui lui renverse sa bouffe, forcement pour eux c'est fini!
du tres bon en roue libre, ce qui effraie quand on sait que son prochain film sera... AUSCHWITZ

Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
je me suis fais les 2 saisons de la série anglaise SPACED (1999 et 2001), écrite et jouée par Simon Pegg (shaun of the dead, hot fuzz) et Jessica Hynes. A noter aussi, la présense de Nick Frost, le pote dans shaun... et hot fuzz.
l'histoire de 2 nouveaux célibataires qui se rencontrent dans un café et cherchent chacun un appart. ils vont finir par postuler ensemble à une annonce où il est indiqué "couples seulement". les voisins sont tarés, leurs potes aussi.
ça délire bien, sans être du jamais vu, c'est bien mis à l'écran, on se bidonne bien et les 2 saisons de 7 épisodes de 25min passent tout seul!!
			
									
									l'histoire de 2 nouveaux célibataires qui se rencontrent dans un café et cherchent chacun un appart. ils vont finir par postuler ensemble à une annonce où il est indiqué "couples seulement". les voisins sont tarés, leurs potes aussi.
ça délire bien, sans être du jamais vu, c'est bien mis à l'écran, on se bidonne bien et les 2 saisons de 7 épisodes de 25min passent tout seul!!
hein?
						Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Vu au cinéma (quelle chance !) le Décaméron de Pasolini, première partie réalisée en 71 de la trilogie de la vie. 9 courtes histoires indépendantes qui se situent au Moyen-Age à Naples, 9 histoires libertines qui désignent avec un humour irrévérencieux et jouissif l'hypocrisie de la morale et de la religion. On retrouve les fameux gros plans de visages de Pasolini qui se détachent sur un arrière-plan flou (tellement expressifs) et sa manière toujours très belle de filmer les corps masculins. 9 anecdotes qui prennent un sens universel tant Pasolini sait allier farce et gravité, et parler de la condition humaine avec des plans.
Pasolini
			
									
									
						Pasolini
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				ladytoxine
 - squatteur/euse

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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Athalie a écrit :Vu au cinéma (quelle chance !) le Décaméron de Pasolini
Mais quel Pied Charmant !
						- melvinjunko
 - pilier de bar

 - Messages : 1287
 - Enregistré le : 19 mai 2009 14:12
 
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Burn after reading, Ladykillers et Fargo que j'ai revu nettement à la hausse...
			
									
									
						Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
AFP - 10/02/2011 à 20:38
Les frères Coen ouvrent la Berlinale avec l'âpre et sombre "True grit"
Après avoir épuisé une grande partie des genres hollywoodiens, les frères Coen ouvrent la Berlinale jeudi avec un western, "True grit", sombre remake de "Cent dollars pour un shérif" qui révèle la jeune Hailee Steinfeld en adolescente revancharde.
Le film, dont le festival de Berlin accueille la première européenne, est sorti aux Etats-Unis en décembre, juste à temps pour concourir aux Oscars, auxquels il est nommé dans pas moins de dix catégories, dont celles de meilleur film, meilleure réalisation et meilleur acteur pour Jeff Bridges.
Ce dernier reprend le rôle qui avait valu à John Wayne le seul Oscar de sa carrière, en 1970, dans la première adaptation du roman de Charles Portis pour le grand écran, "Cent dollars pour un shérif", signé par l'un des maîtres de l'âge d'or du western hollywoodien, Henry Hathaway.
La version de Joel et Ethan Coen, beaucoup plus fidèle à l'âpreté et à la violence du roman, commence par une voix off qui résume l'histoire à venir.
"Les gens n'arrivent pas à croire qu'une jeune fille de 14 ans puisse quitter sa maison et prendre la route, en plein hiver, pour venger le sang de son père. Mais ce n'était pas si étrange, en ce temps-là -- même si je dois reconnaître que cela n'arrivait pas tous les jours...".
La voix est celle de Mattie, une femme "qui en a" -- comme l'affirme le titre original en anglais -- et qui va raconter, deux heures durant, comment elle avait embauché Rooster, un marshal acariâtre (Jeff Bridges) pour liquider Tom Chaney (Josh Brolin), l'assassin de son père.
En chemin, le marshal et l'adolescente -- brillamment interprétée par Hailee Steinfeld, la révélation du film, nommée à l'Oscar du meilleur second rôle féminin -- vont croiser la route de LaBoeuf (Matt Damon), un ranger texan quelque peu imbu de sa personne, lancé lui aussi aux trousses de Chaney.
Quand Henry Hathaway, dans la grande tradition du western hollywoodien classique, faisait évoluer ses personnages dans un Ouest américain verdoyant dopé au technicolor, les frères Coen optent pour un film plus âpre et plus sombre, dépeignant un ouest poussiéreux, inhospitalier et violent.
L'humour, comme toujours avec les deux cinéastes, n'est cependant jamais très loin et le langage ampoulé utilisé par certains personnages -- notamment Mattie et LaBoeuf -- contribue à installer le film, volontiers bavard, dans une étrangeté parfois comique, malgré son fond foncièrement tragique.
Et malgré ses longueurs, "True grit" offre plusieurs scènes d'une force visuelle subjugante, telle cette chevauchée nocturne finale, qui révèle, in extremis, la tendresse de Rooster pour sa jeune protégée.
Après l'échec sans appel de "A serious man", Joel et Ethan Coen ont signé avec "True Grit" leur oeuvre la plus profitable à ce jour.
Premier film des deux frères à avoir franchi la barre des 100 millions de dollars en Amérique du Nord, "True grit" a déjà rapporté plus de 160 millions de dollars de recettes, alors que sa carrière n'a pas encore commencé en Europe, où les Coen jouissent d'un public enthousiaste et fidèle.
Les deux cinéastes avaient remporté leur premier Oscar en 1997 pour le scénario de "Fargo", avant de connaître la consécration du gotha hollywoodien en 2008 avec les quatre Oscars de "No country for old men - Non, ce pays n'est pas pour le vieil homme". Le duo était reparti avec les statuettes de meilleur film, meilleur réalisation et meilleur scénario, tandis que l'Espagnol Javier Bardem avait remporté l'Oscar du meilleur second rôle.
			
									
									Les frères Coen ouvrent la Berlinale avec l'âpre et sombre "True grit"
Après avoir épuisé une grande partie des genres hollywoodiens, les frères Coen ouvrent la Berlinale jeudi avec un western, "True grit", sombre remake de "Cent dollars pour un shérif" qui révèle la jeune Hailee Steinfeld en adolescente revancharde.
Le film, dont le festival de Berlin accueille la première européenne, est sorti aux Etats-Unis en décembre, juste à temps pour concourir aux Oscars, auxquels il est nommé dans pas moins de dix catégories, dont celles de meilleur film, meilleure réalisation et meilleur acteur pour Jeff Bridges.
Ce dernier reprend le rôle qui avait valu à John Wayne le seul Oscar de sa carrière, en 1970, dans la première adaptation du roman de Charles Portis pour le grand écran, "Cent dollars pour un shérif", signé par l'un des maîtres de l'âge d'or du western hollywoodien, Henry Hathaway.
La version de Joel et Ethan Coen, beaucoup plus fidèle à l'âpreté et à la violence du roman, commence par une voix off qui résume l'histoire à venir.
"Les gens n'arrivent pas à croire qu'une jeune fille de 14 ans puisse quitter sa maison et prendre la route, en plein hiver, pour venger le sang de son père. Mais ce n'était pas si étrange, en ce temps-là -- même si je dois reconnaître que cela n'arrivait pas tous les jours...".
La voix est celle de Mattie, une femme "qui en a" -- comme l'affirme le titre original en anglais -- et qui va raconter, deux heures durant, comment elle avait embauché Rooster, un marshal acariâtre (Jeff Bridges) pour liquider Tom Chaney (Josh Brolin), l'assassin de son père.
En chemin, le marshal et l'adolescente -- brillamment interprétée par Hailee Steinfeld, la révélation du film, nommée à l'Oscar du meilleur second rôle féminin -- vont croiser la route de LaBoeuf (Matt Damon), un ranger texan quelque peu imbu de sa personne, lancé lui aussi aux trousses de Chaney.
Quand Henry Hathaway, dans la grande tradition du western hollywoodien classique, faisait évoluer ses personnages dans un Ouest américain verdoyant dopé au technicolor, les frères Coen optent pour un film plus âpre et plus sombre, dépeignant un ouest poussiéreux, inhospitalier et violent.
L'humour, comme toujours avec les deux cinéastes, n'est cependant jamais très loin et le langage ampoulé utilisé par certains personnages -- notamment Mattie et LaBoeuf -- contribue à installer le film, volontiers bavard, dans une étrangeté parfois comique, malgré son fond foncièrement tragique.
Et malgré ses longueurs, "True grit" offre plusieurs scènes d'une force visuelle subjugante, telle cette chevauchée nocturne finale, qui révèle, in extremis, la tendresse de Rooster pour sa jeune protégée.
Après l'échec sans appel de "A serious man", Joel et Ethan Coen ont signé avec "True Grit" leur oeuvre la plus profitable à ce jour.
Premier film des deux frères à avoir franchi la barre des 100 millions de dollars en Amérique du Nord, "True grit" a déjà rapporté plus de 160 millions de dollars de recettes, alors que sa carrière n'a pas encore commencé en Europe, où les Coen jouissent d'un public enthousiaste et fidèle.
Les deux cinéastes avaient remporté leur premier Oscar en 1997 pour le scénario de "Fargo", avant de connaître la consécration du gotha hollywoodien en 2008 avec les quatre Oscars de "No country for old men - Non, ce pays n'est pas pour le vieil homme". Le duo était reparti avec les statuettes de meilleur film, meilleur réalisation et meilleur scénario, tandis que l'Espagnol Javier Bardem avait remporté l'Oscar du meilleur second rôle.
Et pendant ce temps là, papon, libre jubile
l'état n'est pas ingrat quand on lui est servile
Chassant négligemment d’un revers de la main
L’image des enfants qui partent dans les trains
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