Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Starsky ci, starsky ça... Ca va, oui, les bavettes de comptoir ?
Starsky, il est cool, et c'est tout.
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Il nous faut un plus gros bateau !
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- aurélie apatride
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
je suis juste une petite fille, je ne veux pas grandir
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Yep y avait déjà eu un post dessus, tu peux la trouver en anglais sur Down Paradise par ex ou sur youtube apparemment, vu que c'était en anglais j'ai grave galérer à suivre mais ça vaux le coup d'œil.
- melvinjunko
- pilier de bar
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- aurélie apatride
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
il est tout raté le melvin 

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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Alors (re)vu ces derniers temps :
SANS RETOUR :
Presque 10 ans après Délivrance et contemporain de Rambo, ce Sans retour qui suit Power Boothe (le méchant trafiquant de Extreme Prejudice) et une bande de soldats de la Garde Nationale se revoit toujours avec plaisir. C'est pas forcément majestueux mais c'est bien troussé (Walter Hill aux commandes) le score country et la présence de Bryon James (Leon dans Blade Runner) bien barbu assurent le reste...
LES BANLIEUSARDS :
Une comédie de féérie banlieusarde (© starsky) réalisée en 1990 par l'immense Joe Dante. Alors c'est pas très connu et c'est bien dommage car ce film est sacrément bien réussi, Tom Hanks tout jeunot cabotine à mort, le chien est parfait, le scénario rigolo, la première demie heure carrément grandiose et pour couronner le tout un score de Jerry Goldsmith totalement monstrueux, avec moult clins d'oeil référentiels ! A découvrir !
PIRANHA :
Ah ah, ça faisait longtemps que je l'avais pas vu ce Piranha bientôt remaké... Et bon, il s'agit probablement là d'un des plus mauvais Dante... Musique de Pino Donnaggio sympathique mais complètement en décalage avec les images, acteurs en roue libre (mais y'a Dick Miller, comme à chaque fois chez Dante) intrigue mollassonne et effets horrifiques rarissimes. C'est vraiment pas génial...
COMMANDO :
"John, c'est pas entre les yeux que je vais te buter, Joooohn, c'est entre les couuuuuilles !"
Cette citation du génial Vernon Wells (Wez dans Mad Max 2 et aussi le méchant de l'Aventure intérieure) n'arrive pas à sauver cette prod totalement eighties, réalisée par le tacheron Mark Lester et qui est aujourd'hui un summum de nanarditude débile. Mention spéciale au générique qui présente John Matrix et sa fille comme une parfaite famille ricoré dans un enchainement de plans totalement soap. C'est jamais aussi drôle après, et la pauvre Rae Dawn Chong (ou quelque chose comme ça, c'est la meuf de la guerre du feu aussi) fait ce qu'elle peut, mais malheureusement le script ne lui laisse aucune chance. Schwarzy est parfait, c'est à dire nul.
SANS RETOUR :
Presque 10 ans après Délivrance et contemporain de Rambo, ce Sans retour qui suit Power Boothe (le méchant trafiquant de Extreme Prejudice) et une bande de soldats de la Garde Nationale se revoit toujours avec plaisir. C'est pas forcément majestueux mais c'est bien troussé (Walter Hill aux commandes) le score country et la présence de Bryon James (Leon dans Blade Runner) bien barbu assurent le reste...
LES BANLIEUSARDS :
Une comédie de féérie banlieusarde (© starsky) réalisée en 1990 par l'immense Joe Dante. Alors c'est pas très connu et c'est bien dommage car ce film est sacrément bien réussi, Tom Hanks tout jeunot cabotine à mort, le chien est parfait, le scénario rigolo, la première demie heure carrément grandiose et pour couronner le tout un score de Jerry Goldsmith totalement monstrueux, avec moult clins d'oeil référentiels ! A découvrir !
PIRANHA :
Ah ah, ça faisait longtemps que je l'avais pas vu ce Piranha bientôt remaké... Et bon, il s'agit probablement là d'un des plus mauvais Dante... Musique de Pino Donnaggio sympathique mais complètement en décalage avec les images, acteurs en roue libre (mais y'a Dick Miller, comme à chaque fois chez Dante) intrigue mollassonne et effets horrifiques rarissimes. C'est vraiment pas génial...
COMMANDO :
"John, c'est pas entre les yeux que je vais te buter, Joooohn, c'est entre les couuuuuilles !"
Cette citation du génial Vernon Wells (Wez dans Mad Max 2 et aussi le méchant de l'Aventure intérieure) n'arrive pas à sauver cette prod totalement eighties, réalisée par le tacheron Mark Lester et qui est aujourd'hui un summum de nanarditude débile. Mention spéciale au générique qui présente John Matrix et sa fille comme une parfaite famille ricoré dans un enchainement de plans totalement soap. C'est jamais aussi drôle après, et la pauvre Rae Dawn Chong (ou quelque chose comme ça, c'est la meuf de la guerre du feu aussi) fait ce qu'elle peut, mais malheureusement le script ne lui laisse aucune chance. Schwarzy est parfait, c'est à dire nul.
- melvinjunko
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
DILLINGER de JOHN MILIUS
Premier film de Milius, et sacré baptême du feu ! Le film est puissamment écrit, mais ça on a l'habitude chez Milius, et c'est pas vraiment étonné qu'on se laisse séduire par des dialogues savoureux. La mise en scène est elle aussi puissante et sacrément posée pour un débutant, même si on pense souvent à Peckinpah (aussi à cause du casting, Oates, Stanton et Johnson)... Des plans impeccables, des angles originaux, des cadrages somptueux et une photo très naturaliste, très seventies dans ses excès éthérés.
Le casting est là aussi savoureux, et fidèle à l'époque (début des années 70) Warren Oates donne une dimension très ambigue au personnage... Harry Dean Stanton fidèle à lui même, c'est à dire toujours excellent avec son air eternellement surpris ou décalé. Richard Dreyfuss en Baby Face Nelson est savoureux, même si c'est clairement le personnage le moins bien écrit du film. Ben Johnson est lui impeccable en Melvin Purvis, figure paternaliste évidente, incarnant la sévèrité du système. Pour clouer le tout, la zik de Barry De Vorzon (The Warriors) défonce.
CANDYMAN
Revu en DVD et en VO, ça reste pour moi l'un des avatars les plus réussis du film de croque mitaine, une réflexion intelligente sur la rumeur qui incarne littéralement le monstre. Une mise en scène élégante et sobre et sa mère le score de Philip Glass il finit d'enfoncer le clou.
LES CHEVRES DU PENTAGONE
Vraiment déçu, tout était là (histoire, casting) pour faire un film intéressant dans la forme et dans le fond, et au final, ben je trouve que ça se tient pas trop, c'est un peu chiant et un peu con... Dommage...
CINEMAN de Yann "La suisse c'est des cons tout mous" Moix
C'était beaucoup moins drôle qu'un texte de BHL... Avis plus argumenté à suivre...
Premier film de Milius, et sacré baptême du feu ! Le film est puissamment écrit, mais ça on a l'habitude chez Milius, et c'est pas vraiment étonné qu'on se laisse séduire par des dialogues savoureux. La mise en scène est elle aussi puissante et sacrément posée pour un débutant, même si on pense souvent à Peckinpah (aussi à cause du casting, Oates, Stanton et Johnson)... Des plans impeccables, des angles originaux, des cadrages somptueux et une photo très naturaliste, très seventies dans ses excès éthérés.
Le casting est là aussi savoureux, et fidèle à l'époque (début des années 70) Warren Oates donne une dimension très ambigue au personnage... Harry Dean Stanton fidèle à lui même, c'est à dire toujours excellent avec son air eternellement surpris ou décalé. Richard Dreyfuss en Baby Face Nelson est savoureux, même si c'est clairement le personnage le moins bien écrit du film. Ben Johnson est lui impeccable en Melvin Purvis, figure paternaliste évidente, incarnant la sévèrité du système. Pour clouer le tout, la zik de Barry De Vorzon (The Warriors) défonce.
CANDYMAN
Revu en DVD et en VO, ça reste pour moi l'un des avatars les plus réussis du film de croque mitaine, une réflexion intelligente sur la rumeur qui incarne littéralement le monstre. Une mise en scène élégante et sobre et sa mère le score de Philip Glass il finit d'enfoncer le clou.
LES CHEVRES DU PENTAGONE
Vraiment déçu, tout était là (histoire, casting) pour faire un film intéressant dans la forme et dans le fond, et au final, ben je trouve que ça se tient pas trop, c'est un peu chiant et un peu con... Dommage...
CINEMAN de Yann "La suisse c'est des cons tout mous" Moix
C'était beaucoup moins drôle qu'un texte de BHL... Avis plus argumenté à suivre...
- melvinjunko
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Ah c'est quand même autre chose le cinéma français !
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il parait que Doillon fait son prochain film en 3D...
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il parait que Doillon fait son prochain film en 3D...
- melvinjunko
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
SURVIVAL OF THE DEAD
J'avais été déçu par Land of the dead, que j'avais trouvé très mauvais et à la traine dans son discours... J'avais été atterré par Diary of the dead, que j'avais trouvé exécrable et nullissime dans ses intentions... Ben j'ai été agréablement surpris par ce Survival... Peut être le moins naze des trois pour moi.
La forme est classique et ça fait du bien, écran large et grands espaces... Des zombies qui traversent un cadre posé, calme, ça rappelle quelques vieux souvenirs. La photo est plutôt acceptable et la réalisation, si elle n'est pas virtuose est au service de son intrigue.
Là ça commence un peu à se compliquer. Les deux clans en guerre, le troisième clan qui vient s'en mêler, tout ça manque un peu d'ampleur... Même si le mix intrigue de western (très appuyée par les costumes et la topographie) et invasion de zombie créent quelques situations inédites et intéressantes. Dommage que ça ne soit pas mieux développé, j'aurais bien aimé 20 minutes de plus pour développer la situation de cette île et de ces personnages, surtout que tout est baigné dans un premier degré appréciable (même si quelques gags plus ou moins foireux plombent le tout).
Ce qui m'a le plus intéressé, et le plus laissé sur ma fin au final, c'est que Romero pose une nouvelle fois un thème autour de son monstre chéri : le fanatisme religieux contre le réalisme rationnel... Et le coeur du sujet du film est là : que fait-on des zombies ?! Et si la réponse proposée par l'un des deux camps se rapproche du final de Shaun of the dead, ce sont des images glaçantes et cyniques qui se superposent à celles rigolardes du film anglais. La foi dans une vision religieuse des choses demande au récit que le retour du thème du zombi qui apprend. Autant tout ce qui reste au niveau "domestique" est passionnant, autant tout ce qui tourne autour du final chevalin me semble un peu crétin et plombe le récit.
Dommage que le film ne soit pas meilleur car le thème du fanatisme religieux est passionnant et l'affrontement des deux camps sur ces bases offre de quoi nourrir un film...
Donc ben encore une fois Romero manque de moyen, et il manque à son film l'ampleur nécessaire que son propos demandait. Pas tant qu'il manque des zombies (même si le carnage final est un peu pauvre et un peu court comparé à ceux de la première trilogie) mais surtout l'intrigue prend parfois des directions que je trouve inutiles par rapport à ce qu'il y avait d'intéressant à porter : Tout ce qui touche les deux soeurs est un peu téléphoné par exemple...
Donc ben en conclusion c'est pas si mal, quelques scènes sont vraiment classes (celle au début avec la famille et les deux gamins) d'autres clairement loupées (et c'est dommage c'est souvent à cause d'effets numériques cheapos, je pense notament aux têtes décapitées, ou au crâne éclaté en tout début de film) mais un film au propos intéressant et nettement mieux tenu que son abominable prédécesseur...
J'avais été déçu par Land of the dead, que j'avais trouvé très mauvais et à la traine dans son discours... J'avais été atterré par Diary of the dead, que j'avais trouvé exécrable et nullissime dans ses intentions... Ben j'ai été agréablement surpris par ce Survival... Peut être le moins naze des trois pour moi.
La forme est classique et ça fait du bien, écran large et grands espaces... Des zombies qui traversent un cadre posé, calme, ça rappelle quelques vieux souvenirs. La photo est plutôt acceptable et la réalisation, si elle n'est pas virtuose est au service de son intrigue.
Là ça commence un peu à se compliquer. Les deux clans en guerre, le troisième clan qui vient s'en mêler, tout ça manque un peu d'ampleur... Même si le mix intrigue de western (très appuyée par les costumes et la topographie) et invasion de zombie créent quelques situations inédites et intéressantes. Dommage que ça ne soit pas mieux développé, j'aurais bien aimé 20 minutes de plus pour développer la situation de cette île et de ces personnages, surtout que tout est baigné dans un premier degré appréciable (même si quelques gags plus ou moins foireux plombent le tout).
Ce qui m'a le plus intéressé, et le plus laissé sur ma fin au final, c'est que Romero pose une nouvelle fois un thème autour de son monstre chéri : le fanatisme religieux contre le réalisme rationnel... Et le coeur du sujet du film est là : que fait-on des zombies ?! Et si la réponse proposée par l'un des deux camps se rapproche du final de Shaun of the dead, ce sont des images glaçantes et cyniques qui se superposent à celles rigolardes du film anglais. La foi dans une vision religieuse des choses demande au récit que le retour du thème du zombi qui apprend. Autant tout ce qui reste au niveau "domestique" est passionnant, autant tout ce qui tourne autour du final chevalin me semble un peu crétin et plombe le récit.
Dommage que le film ne soit pas meilleur car le thème du fanatisme religieux est passionnant et l'affrontement des deux camps sur ces bases offre de quoi nourrir un film...
Donc ben encore une fois Romero manque de moyen, et il manque à son film l'ampleur nécessaire que son propos demandait. Pas tant qu'il manque des zombies (même si le carnage final est un peu pauvre et un peu court comparé à ceux de la première trilogie) mais surtout l'intrigue prend parfois des directions que je trouve inutiles par rapport à ce qu'il y avait d'intéressant à porter : Tout ce qui touche les deux soeurs est un peu téléphoné par exemple...
Donc ben en conclusion c'est pas si mal, quelques scènes sont vraiment classes (celle au début avec la famille et les deux gamins) d'autres clairement loupées (et c'est dommage c'est souvent à cause d'effets numériques cheapos, je pense notament aux têtes décapitées, ou au crâne éclaté en tout début de film) mais un film au propos intéressant et nettement mieux tenu que son abominable prédécesseur...
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
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We didn't cross the border ! The border crossed us !!!

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