) me rappelle furieusement une chronique concert ( écrite par le mec de DU PAIN DU VIN DU BOURRIN ) qui était sortie dans REST et qui racontait un festival du même genre : même genre d'endroit, ressenti identique, belle plume et bon humour également ... Un régal !!La même usine que dans ce clip ? Ou il y en a eu plusieurs ??moncul a écrit : ↑29 mai 2022 15:34Oh oui que je me souviens de ce squat dans une ancienne usine de pressage ! Les montagnes de 45 tours recouverts d'excréments de rongeurs ! Hahaha
Au bout d'un moment, un jour où t'étais pas là, j'avais trouvé des Polaroid des gens qui habitaient là, j'aimerais en faire un truc un jour.
T'as rien à te reprocher camarade, t'as écris ton ressenti de manière assez factuelle, perso j'ai pas trouvé que tu vendais la soupe du festoche. Et puis c'est clair : t'édites un bouquin de NOFX, normal que tu viennes le vendre à un de leur concert. C'est plutôt ces abrutis qui te refusent de poser une table... Peut-être t'aurais pu incruster ton bouquin sur le stand officiel de NOFX ? Des fois vaut mieux rien demander à des types qui pigent nib. D'autant que dans ce genre de festoche, ils programment du punk mais savent même pas ce que c'est, ils ont aucuns codes, aucune connaissance empathique, aucun ressenti, c'est juste des jeunes cadres dynamiques qui pourraient aussi bien bosser comme commerciaux chez Amazon sans voir la différence et qui, au quotidien, changent de crèmerie quand y'a des types trop turbulents et/ou bizarres au comptoir.moncul a écrit : ↑29 mai 2022 17:06
Et je suis en train de me dire que j'aurais dû attendre un peu avant d'écrire ma chronique (ou carrément ne pas l'écrire). Parce qu'avec un peu plus de recul, j'aurais peut-être vu les choses autrement, j'aurais peut-être plutôt insisté sur les choses que tu évoques, car j'ai certainement été bien trop gentil-complaisant envers ce festoch (et moi-même).
Chéri-Bibi a écrit : ↑29 mai 2022 20:42Non, les lieux du clip ne me disent rien, et l'endroit était dans un état encore plus lamentable : on marchait littéralement sur des disques / pochettes / K7 en décomposition sur lesquels avaient chié plusieurs générations de rats. Avec les habitants du squat (très éphémère du reste), on a essayé de sauver ce qui pouvait l'être, gants et masques obligatoires pour pas attraper une merde respiratoire ou liée à la fiente de rongeurs. Faudrait que je fouille dans mes disques pour retrouver certains de ceux sauvés (de la musique de films, de la chanson française, du rock, un peu de tout en fait. Tous totalement neufs car... sortis d'usine -ou espérant en sortir) et me rappeler le nom de lla boîte. Pascal s'en souviendra peut-être mieux que moi, je dirais que c'était il y a une bonne dizaine d'années. Mais hélas, oui, il y en a eu plusieurs d'usines du genre laissées à l'abandon avec le stock dedans.
Si tu t'intéresses à la (triste) question, voilà un mémoire consacré au tragique destin des disques Vogue, à Villeurbanne (l'état intérieur de l'usine qu'on a évoqué ressemblait d'ailleurs davantage aux photos du mémoire) : http://www.lecalamarnoir.fr/wp-content/ ... Vogue-.pdf
Non, c'était un mec qu'avait ramené un skate télécommandé avec moteur électrique pour faire la démo devant son stand, fier comme Artaban... Je lui ai demandé si je pouvais l'essayer, me suis allongé dessus et j'ai appuyé à fond sur le bouton... Putain d'accélération ! Du coup j'ai foncé tête la première dans le stand de Konstroy... que j'ai totalement défoncé !!! Genre je me suis retrouvé incrusté dans les tréteaux façon ready-made, éparpillant leurs CDs sur tout le périmètre. Le mec a repris son skate direct et s'est montré très discret le reste de la journée, des fois qu'un autre abruti veuille faire pire. 
A une époque je chinais beaucoup et j'étais sur un forum de chineurs de vinyl où ça parlait d'une usine Pathé et effectivement il m'est arrivé de trouver des disques Pathé en état neuf donc provenant sûrement de ce stock. C'était des trucs africains sympas !Chéri-Bibi a écrit : ↑29 mai 2022 20:42Non, les lieux du clip ne me disent rien, et l'endroit était dans un état encore plus lamentable : on marchait littéralement sur des disques / pochettes / K7 en décomposition sur lesquels avaient chié plusieurs générations de rats. Avec les habitants du squat (très éphémère du reste), on a essayé de sauver ce qui pouvait l'être, gants et masques obligatoires pour pas attraper une merde respiratoire ou liée à la fiente de rongeurs. Faudrait que je fouille dans mes disques pour retrouver certains de ceux sauvés (de la musique de films, de la chanson française, du rock, un peu de tout en fait. Tous totalement neufs car... sortis d'usine -ou espérant en sortir) et me rappeler le nom de lla boîte. Pascal s'en souviendra peut-être mieux que moi, je dirais que c'était il y a une bonne dizaine d'années. Mais hélas, oui, il y en a eu plusieurs d'usines du genre laissées à l'abandon avec le stock dedans.
Si tu t'intéresses à la (triste) question, voilà un mémoire consacré au tragique destin des disques Vogue, à Villeurbanne (l'état intérieur de l'usine qu'on a évoqué ressemblait d'ailleurs davantage aux photos du mémoire) : http://www.lecalamarnoir.fr/wp-content/ ... Vogue-.pdf
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